Avec L’EcoRacer, Volkswagen dévoile en 2005 sa vision de la sportive du futur. Compacte, légère et modulable, elle accueille en son sein un étonnant moteur diesel de 136 ch.
HISTOIRE |
850 kg, 136 ch.
Au Salon de l’automobile de Tokyo en 2005, Volkswagen lève le voile sur un concept de petit coupé sportif baptisé EcoRacer. Sous sa robe jaune immaculée ce cache des technologies modernes, censées améliorer les performances tout en réduisant les consommations. Ainsi, le châssis et la carrosserie sont en CFP, un plastique renforcé par de la fibre de carbone. Cela permet d’avoir une rigidité optimale tout en maintenant le poids de l’EcoRacer sous les 850 kg. Le gabarit est également contenu, avec une longueur de 3,77 m. et une hauteur de seulement 1,21 m. Le style se veut moderne, avec des phares avant et des feux arrière à LED et tranche radicalement avec la gamme Volkswagen de série. Présenté sous la forme d’un coupé, l’EcoRacer peut se transformer en cabriolet en retirant le toit et la partie derrière l’arche centrale, et peut même devenir un speedster en retirant le pare-brise avant. Toutes ces configurations permettent à l’EcoRacer de s’adapter à toutes les utilisations.
Stricte deux places, l’habitacle se veut particulièrement dépouillé avec la fibre de carbone apparente et les commandes en aluminium. Habillé de cuir et d’alcantara, les deux sièges baquets participent à cette ambiance sportive. Côté moteur, c’est un inédit 1.5 l. TDI qui prend place en position centrale arrière. Développant 136 ch. et 250 Nm de couple, il répond à la future norme antipollution Euro 5 et est accouplé à la boite de vitesse robotisée DSG à sept rapports. Les performances sont particulièrement intéressantes avec un 0 à 100 km/h abattu en seulement 6,3 secondes. Grâce au poids contenu et la présence du moteur diesel, la consommation annoncée est de seulement 3,4 l./100 km. L’EcoRacer peut également atteindre 230 km/h en vitesse de pointe, une valeur très honorable quand on la rapporte à la puissance du modèle.
Malgré son côté abouti et le fait qu’il soit homologué pour la route, l’EcoRacer n’atteindra jamais le stade de la production en série. Avec son poids contenu et son moteur diesel, il présente une vision de ce que pourrait être la sportive du futur, à la fois performante et économique.
Au Salon de l’automobile de Tokyo en 2005, Volkswagen lève le voile sur un concept de petit coupé sportif baptisé EcoRacer. Sous sa robe jaune immaculée ce cache des technologies modernes, censées améliorer les performances tout en réduisant les consommations. Ainsi, le châssis et la carrosserie sont en CFP, un plastique renforcé par de la fibre de carbone. Cela permet d’avoir une rigidité optimale tout en maintenant le poids de l’EcoRacer sous les 850 kg. Le gabarit est également contenu, avec une longueur de 3,77 m. et une hauteur de seulement 1,21 m. Le style se veut moderne, avec des phares avant et des feux arrière à LED et tranche radicalement avec la gamme Volkswagen de série. Présenté sous la forme d’un coupé, l’EcoRacer peut se transformer en cabriolet en retirant le toit et la partie derrière l’arche centrale, et peut même devenir un speedster en retirant le pare-brise avant. Toutes ces configurations permettent à l’EcoRacer de s’adapter à toutes les utilisations.
Stricte deux places, l’habitacle se veut particulièrement dépouillé avec la fibre de carbone apparente et les commandes en aluminium. Habillé de cuir et d’alcantara, les deux sièges baquets participent à cette ambiance sportive. Côté moteur, c’est un inédit 1.5 l. TDI qui prend place en position centrale arrière. Développant 136 ch. et 250 Nm de couple, il répond à la future norme antipollution Euro 5 et est accouplé à la boite de vitesse robotisée DSG à sept rapports. Les performances sont particulièrement intéressantes avec un 0 à 100 km/h abattu en seulement 6,3 secondes. Grâce au poids contenu et la présence du moteur diesel, la consommation annoncée est de seulement 3,4 l./100 km. L’EcoRacer peut également atteindre 230 km/h en vitesse de pointe, une valeur très honorable quand on la rapporte à la puissance du modèle.
Malgré son côté abouti et le fait qu’il soit homologué pour la route, l’EcoRacer n’atteindra jamais le stade de la production en série. Avec son poids contenu et son moteur diesel, il présente une vision de ce que pourrait être la sportive du futur, à la fois performante et économique.