MVS Venturi continue son développement à la fin des années 1980 et présente la 2.80 SPC. Évolution du coupé 200, il répond aux ambitions du constructeur français de proposer une GT toujours plus performante.
HISTOIRE |
Une GT ‘’made in France’’
Présenté en 1989, la 2.80 SPC (Sans Pot Catalytique) est une version évoluée du coupé 200 déjà présent au catalogue de MVS Venturi. Son V6 PRV développe 260 ch. et se distingue de la 200 par son aileron de toit et son spoiler avant agrandit. Malgré des performances intéressantes (5,3 s. pour effectuer le 0 à 100 km/h) les ventes sont faibles et le constructeur français rencontre des difficultés. En 1990, MVS devient Venturi et change de logo. La 2.80 SPC est renommée 260 SPC sans changement particulier. Au Salon de l’automobile de Paris, la 260 APC (Avec Pot Catalytique) est présentée pour remplacer la version SPC afin de répondre aux nouvelles normes antipollution. Identique extérieurement, elle peut s’équiper de l’ABS en option.
En 1991, la 260 APC reçoit quelques modifications à l’intérieur (réglage des sièges, commodos) alors que la 260 Atlantique est dévoilée. Allégée par rapport à la 260 APC, elle se reconnait à ses baquets Recaro, ses jantes noires, sa teinte bleue et ses inserts en fibre de carbone à l’intérieur. Elle sera produite à 25 exemplaires. Pour le millésime 1994, présentation de la 260 LM. Version la plus radicale et célébrant la présence du constructeur français aux 24H du Mans, elle s’équipe de sièges baquets, de jantes blanche OZ 17’’, d’inserts intérieur en carbone et de trains roulants revus et corrigés. Des stickers 260 LM sont présents sur la carrosserie. Produite à 33 exemplaires, elle ne permettra pas de relancer le modèle qui arrive en fin de carrière. Ainsi, en 1996 la dernière 260 sort des chaines de production et sera remplacée par la 300 Atlantique.
Produite à 188 exemplaires, la Venturi 260 n’aura jamais eu les moyens de réellement concurrencer les Porsche et Ferrari sur le plan commercial malgré d’indéniables qualités. Elle souffrira d’une production artisanale trop confidentielle et d’une image de marque très en deçà de ses concurrentes.
Présenté en 1989, la 2.80 SPC (Sans Pot Catalytique) est une version évoluée du coupé 200 déjà présent au catalogue de MVS Venturi. Son V6 PRV développe 260 ch. et se distingue de la 200 par son aileron de toit et son spoiler avant agrandit. Malgré des performances intéressantes (5,3 s. pour effectuer le 0 à 100 km/h) les ventes sont faibles et le constructeur français rencontre des difficultés. En 1990, MVS devient Venturi et change de logo. La 2.80 SPC est renommée 260 SPC sans changement particulier. Au Salon de l’automobile de Paris, la 260 APC (Avec Pot Catalytique) est présentée pour remplacer la version SPC afin de répondre aux nouvelles normes antipollution. Identique extérieurement, elle peut s’équiper de l’ABS en option.
En 1991, la 260 APC reçoit quelques modifications à l’intérieur (réglage des sièges, commodos) alors que la 260 Atlantique est dévoilée. Allégée par rapport à la 260 APC, elle se reconnait à ses baquets Recaro, ses jantes noires, sa teinte bleue et ses inserts en fibre de carbone à l’intérieur. Elle sera produite à 25 exemplaires. Pour le millésime 1994, présentation de la 260 LM. Version la plus radicale et célébrant la présence du constructeur français aux 24H du Mans, elle s’équipe de sièges baquets, de jantes blanche OZ 17’’, d’inserts intérieur en carbone et de trains roulants revus et corrigés. Des stickers 260 LM sont présents sur la carrosserie. Produite à 33 exemplaires, elle ne permettra pas de relancer le modèle qui arrive en fin de carrière. Ainsi, en 1996 la dernière 260 sort des chaines de production et sera remplacée par la 300 Atlantique.
Produite à 188 exemplaires, la Venturi 260 n’aura jamais eu les moyens de réellement concurrencer les Porsche et Ferrari sur le plan commercial malgré d’indéniables qualités. Elle souffrira d’une production artisanale trop confidentielle et d’une image de marque très en deçà de ses concurrentes.
MODÈLES CONCURRENTS |
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