Désireux de produire un petit cabriolet dérivé de la Twingo II, Renault présente en 2010 la Wind. Dotée d’un toit en verre pivotant, elle fut développée par Renault Sport et propose uniquement des moteurs essences.
HISTOIRE |
Cabriolet deux places
C’est au Salon de l’automobile de Genève 2010 que Renault présente la petite Wind. Cabriolet stricte deux places, elle reprend la base technique de la Twingo II mais les trains roulants sont directement dérivé de la Twingo RS, offrant alors comportement très efficace. Mais la vraie originalité du modèle, c’est la présence d’un toit pivotant en verre inspiré de la Ferrari 575 Superamerica. Cette technologie permet de conserver le même volume du coffre en position ouverte ou fermé. A l’intérieur, la planche de bord est spécifique, mais reste assez proche de la Twingo. La commercialisation intervient en cours d’année 2010 et les objectifs de Renault sont importants puisque le constructeur français espère vendre 75.000 Wind par an. Au lancement, l’offre se résume à deux motorisations essence, un 1.2 l. TCe de 100 ch. et un 1.6 l. 16v de 133 ch.
La série Collection limitée à 300 exemplaires est disponible dès la précommande du modèle. Ils sont peints en noir ou en blanc et reçoivent une plaque numérotée. La gamme normale se compose quant à elle de trois finitions (Wind, Dynamique et Exception). Avec à peine plus de 6.000 exemplaires produits la première année, la déception de Renault est grande et les objectifs sont rapidement revus à la baisse. Dès 2011, la finition Gordini est ajoutée au catalogue. Version la mieux équipée, elle se distingue notamment par sa robe bleue à bandes blanches et ses sièges en cuir siglés Gordini. Mais rien n’y fera, les ventes de la Wind ne décolleront jamais. En fin d’année 2012, Renault décide de cesser la production de son petit cabriolet, après seulement 14.370 exemplaires produits. Les stocks seront cependant écoulés en concession jusqu’en 2014.
Avec moins de 15.000 exemplaires produits, la Wind sera un véritable échec pour Renault. Proposant seulement deux places, avec un dessin manquant de finesse pour certain et surtout une communication trop discrète lors de son lancement, les raisons de son manque de succès sont nombreuses.
C’est au Salon de l’automobile de Genève 2010 que Renault présente la petite Wind. Cabriolet stricte deux places, elle reprend la base technique de la Twingo II mais les trains roulants sont directement dérivé de la Twingo RS, offrant alors comportement très efficace. Mais la vraie originalité du modèle, c’est la présence d’un toit pivotant en verre inspiré de la Ferrari 575 Superamerica. Cette technologie permet de conserver le même volume du coffre en position ouverte ou fermé. A l’intérieur, la planche de bord est spécifique, mais reste assez proche de la Twingo. La commercialisation intervient en cours d’année 2010 et les objectifs de Renault sont importants puisque le constructeur français espère vendre 75.000 Wind par an. Au lancement, l’offre se résume à deux motorisations essence, un 1.2 l. TCe de 100 ch. et un 1.6 l. 16v de 133 ch.
La série Collection limitée à 300 exemplaires est disponible dès la précommande du modèle. Ils sont peints en noir ou en blanc et reçoivent une plaque numérotée. La gamme normale se compose quant à elle de trois finitions (Wind, Dynamique et Exception). Avec à peine plus de 6.000 exemplaires produits la première année, la déception de Renault est grande et les objectifs sont rapidement revus à la baisse. Dès 2011, la finition Gordini est ajoutée au catalogue. Version la mieux équipée, elle se distingue notamment par sa robe bleue à bandes blanches et ses sièges en cuir siglés Gordini. Mais rien n’y fera, les ventes de la Wind ne décolleront jamais. En fin d’année 2012, Renault décide de cesser la production de son petit cabriolet, après seulement 14.370 exemplaires produits. Les stocks seront cependant écoulés en concession jusqu’en 2014.
Avec moins de 15.000 exemplaires produits, la Wind sera un véritable échec pour Renault. Proposant seulement deux places, avec un dessin manquant de finesse pour certain et surtout une communication trop discrète lors de son lancement, les raisons de son manque de succès sont nombreuses.