La 911 Type G est la deuxième génération de la 911. Évolution de la 911 originelle, elle fut présentée en 1974 et se distingue principalement de l’ancienne génération par ses pare-chocs plus proéminents respectant les normes américaines.
HISTOIRE |
Présentation
Lors de son lancement en 1974, la 911 Type G est disponible avec le 6 cylindres en ligne 2.7 l. décliné en 3 puissances, 150 ch. (911), 170 ch. (911 S) et 210 ch. (Carrera). Dès 1975, la première 911 Turbo de l’histoire est présentée, appelée 930. Son moteur 3.0 l. développe une puissance confortable de 260 ch. et se distingue extérieurement par ses ailes larges et son aileron arrière. En 1977, la 911 S est arrêtée (sauf aux États-Unis). La même année, la version 3.0 l. du 6 cylindres en ligne est présentée. Offrant une puissance de 200 ch., la Carrera 3.0 épaulera la Carrera 2.7 uniquement sur ce millésime, avant la présentation de la 911 SC en 1978.
En effet, pour le millésime 1978, la 911 SC remplace dans la gamme les Carrera 2.7 et Carrera 3.0. Uniquement disponible avec la 3.0 offrant une puissance de 180 ch., c’est le seul modèle atmosphérique de la gamme, à côté de la 930 Turbo. A noter que cet année, la Turbo voit sa cylindrée passer à 3.3 l. et sa puissance portée à 300 ch. En 1979, la puissance de la SC passe à 188 ch. en Europe, alors qu’elle reste à 180 ch. aux États-Unis. Avec cette modification, le 5è rapport de boite est allongé, pour réduire la consommation.
Retour de la Carrera
En 1981, la puissance passe désormais à 204 ch., alors qu’elle reste toujours à 180 ch. pour les États-Unis. Cette année-là, une série limitée ‘’Ferry Porsche’’ est produite à 200 exemplaires (dont 14 pour la France). Elle se distingue par sa couleur Gris Météor et ses jantes ATS 15’’. Il n’y aura pas d’autres modifications jusqu’en 1984, et la présentation de la Carrera 3.2. Elle est disponible en version coupé, targa et cabriolet. Elle se distingue de la 911 SC par son moteur dont la cylindrée passe à 3.164 cm3 et 231 ch. Cette augmentation entraîne une majoration des freins. A l’extérieur, les jantes sont nouvelles (185/70 R 15 à l’avant et 215/60 R 15 à l’arrière) et le logo Carrera apparaît sur le capot arrière. En option, le kit carrosserie de la Turbo est disponible sur la Carrera. Cette option est baptisée Turbolook.
En 1985, le volant est désormais à 4 branches (3 branches auparavant) alors que les sièges sont remplacés par des modèles plus ergonomiques. L’antenne électrique est maintenant fixée sur le pare-brise, les lave-glaces sont chauffants et la capacité du réservoir passe de 80 l. à 85 l. Enfin, une série limitée Kenwood Le Mans est construite pour la France à seulement 15 exemplaires. Elle se distingue principalement par la présence d’un autoradio Kenwood dans l’habitacle. La condamnation centralisée est disponible en option mais elle sera installée en série en 1986. Cette même année, une nouvelle planche de bord est montée, alors que les sièges avant sont abaissés de 20 mm. L’option Turbolook devient un modèle à part entière dans la gamme.
Une fin de carrière dans la continuité
Pour le millésime 1987, la boite G50 et un nouvel embrayage plus volumineux sont introduits. La monte pneumatique à l’avant passe à 195/95 R 15. A l’intérieur, la commande du rétroviseur droit change de place et les poignées de porte sont maintenant éclairées. A l’arrière, les feux antibrouillard sont intégrés au bandeau. Sur le cabriolet, la capote est désormais électrique. En 1988, la dotation de série est enrichie, avec rétroviseur droit, lave-phares, siège passager électrique, intérieur cuir et pré-équipement radio à 8 haut-parleurs. Les jantes Fuchs 15’’ remplacent les jantes actuelles. Toujours en 1988, une version extrême de la Carrera est présentée, il s’agit de la Carrera Club Sport. La présentation intérieure est simplifiée, avec suppression des contre-portes, de la banquette arrière et de tous les équipements de série. A la place, des sièges baquets et des harnais sont installés. Cet allègement permet de gagner 50 kg. et améliore les performances, même si la puissance reste inchangée.
En fin d’année, une nouvelle série limitée est présentée. Il s’agit de la Jubilé, qui fête les 25 ans de carrière de la 911. Elle est disponible avec les 3 carrosseries (coupé, targa et cabriolet) et sera produite à 875 exemplaires. 1989 sera la dernière année de production de la 911 Type G. Les pneumatiques passent à 205/55 R 16 à l’avant et 225/50 R 16 à l’arrière. L’alarme est montée en série. Enfin, la version Speedster est disponible à la vente. Elle se distingue par son pare-brise plus bas, et sa capote spécifique. De plus, elle n’est dotée que de 2 places. Elle est disponible avec la carrosserie normale ou avec le kit Turbolook. Sur cet unique millésime de production, 2.065 exemplaires de Speedster furent produits (dont 1.894 Turbolook).
La 911 Type G fut la génération de 911 ayant eu la carrière la plus longue. Produite entre 1974 et 1989, elle fut déclinée en de nombreuses versions, et servit de base à sa remplaçante la 911 Type 964, qui sortit en 1989.
Lors de son lancement en 1974, la 911 Type G est disponible avec le 6 cylindres en ligne 2.7 l. décliné en 3 puissances, 150 ch. (911), 170 ch. (911 S) et 210 ch. (Carrera). Dès 1975, la première 911 Turbo de l’histoire est présentée, appelée 930. Son moteur 3.0 l. développe une puissance confortable de 260 ch. et se distingue extérieurement par ses ailes larges et son aileron arrière. En 1977, la 911 S est arrêtée (sauf aux États-Unis). La même année, la version 3.0 l. du 6 cylindres en ligne est présentée. Offrant une puissance de 200 ch., la Carrera 3.0 épaulera la Carrera 2.7 uniquement sur ce millésime, avant la présentation de la 911 SC en 1978.
En effet, pour le millésime 1978, la 911 SC remplace dans la gamme les Carrera 2.7 et Carrera 3.0. Uniquement disponible avec la 3.0 offrant une puissance de 180 ch., c’est le seul modèle atmosphérique de la gamme, à côté de la 930 Turbo. A noter que cet année, la Turbo voit sa cylindrée passer à 3.3 l. et sa puissance portée à 300 ch. En 1979, la puissance de la SC passe à 188 ch. en Europe, alors qu’elle reste à 180 ch. aux États-Unis. Avec cette modification, le 5è rapport de boite est allongé, pour réduire la consommation.
Retour de la Carrera
En 1981, la puissance passe désormais à 204 ch., alors qu’elle reste toujours à 180 ch. pour les États-Unis. Cette année-là, une série limitée ‘’Ferry Porsche’’ est produite à 200 exemplaires (dont 14 pour la France). Elle se distingue par sa couleur Gris Météor et ses jantes ATS 15’’. Il n’y aura pas d’autres modifications jusqu’en 1984, et la présentation de la Carrera 3.2. Elle est disponible en version coupé, targa et cabriolet. Elle se distingue de la 911 SC par son moteur dont la cylindrée passe à 3.164 cm3 et 231 ch. Cette augmentation entraîne une majoration des freins. A l’extérieur, les jantes sont nouvelles (185/70 R 15 à l’avant et 215/60 R 15 à l’arrière) et le logo Carrera apparaît sur le capot arrière. En option, le kit carrosserie de la Turbo est disponible sur la Carrera. Cette option est baptisée Turbolook.
En 1985, le volant est désormais à 4 branches (3 branches auparavant) alors que les sièges sont remplacés par des modèles plus ergonomiques. L’antenne électrique est maintenant fixée sur le pare-brise, les lave-glaces sont chauffants et la capacité du réservoir passe de 80 l. à 85 l. Enfin, une série limitée Kenwood Le Mans est construite pour la France à seulement 15 exemplaires. Elle se distingue principalement par la présence d’un autoradio Kenwood dans l’habitacle. La condamnation centralisée est disponible en option mais elle sera installée en série en 1986. Cette même année, une nouvelle planche de bord est montée, alors que les sièges avant sont abaissés de 20 mm. L’option Turbolook devient un modèle à part entière dans la gamme.
Une fin de carrière dans la continuité
Pour le millésime 1987, la boite G50 et un nouvel embrayage plus volumineux sont introduits. La monte pneumatique à l’avant passe à 195/95 R 15. A l’intérieur, la commande du rétroviseur droit change de place et les poignées de porte sont maintenant éclairées. A l’arrière, les feux antibrouillard sont intégrés au bandeau. Sur le cabriolet, la capote est désormais électrique. En 1988, la dotation de série est enrichie, avec rétroviseur droit, lave-phares, siège passager électrique, intérieur cuir et pré-équipement radio à 8 haut-parleurs. Les jantes Fuchs 15’’ remplacent les jantes actuelles. Toujours en 1988, une version extrême de la Carrera est présentée, il s’agit de la Carrera Club Sport. La présentation intérieure est simplifiée, avec suppression des contre-portes, de la banquette arrière et de tous les équipements de série. A la place, des sièges baquets et des harnais sont installés. Cet allègement permet de gagner 50 kg. et améliore les performances, même si la puissance reste inchangée.
En fin d’année, une nouvelle série limitée est présentée. Il s’agit de la Jubilé, qui fête les 25 ans de carrière de la 911. Elle est disponible avec les 3 carrosseries (coupé, targa et cabriolet) et sera produite à 875 exemplaires. 1989 sera la dernière année de production de la 911 Type G. Les pneumatiques passent à 205/55 R 16 à l’avant et 225/50 R 16 à l’arrière. L’alarme est montée en série. Enfin, la version Speedster est disponible à la vente. Elle se distingue par son pare-brise plus bas, et sa capote spécifique. De plus, elle n’est dotée que de 2 places. Elle est disponible avec la carrosserie normale ou avec le kit Turbolook. Sur cet unique millésime de production, 2.065 exemplaires de Speedster furent produits (dont 1.894 Turbolook).
La 911 Type G fut la génération de 911 ayant eu la carrière la plus longue. Produite entre 1974 et 1989, elle fut déclinée en de nombreuses versions, et servit de base à sa remplaçante la 911 Type 964, qui sortit en 1989.
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