Deux ans après la Qasar, Peugeot lève à nouveau le voile sur un concept-car assez extrême, destiné à montrer ce que Peugeot peut faire de mieux lorsqu’il a carte blanche. Ce prototype prend le nom de Proxima.
HISTOIRE |
600 ch., 348 km/h !
C’est lors du Salon de l’automobile de Paris 1986 que la Proxima trône fièrement sur le stand Peugeot. Présenté comme un coupé 2+2 très futuriste, il ne ressemble à rien d’autre d’existant dans le monde automobile de l’époque. Tout de rouge vêtu et doté d’un habitacle surmonté d’une bulle, il fait la part belle à la technologie et à la performance. La face avant inspirera les futures 405 et 605 alors que l’arrière prend son inspiration du côté des modèles de compétition. Sous le capot, Peugeot n’a pas fait les choses à moitié avec la présence du V6 2.8 l. dopé par deux turbocompresseurs et développant pas moins de 600 ch.
Accouplé à une transmission intégrale issue de la compétition, l’ensemble permet à la Proxima d’atteindre 348 km/h en vitesse de pointe, une valeur totalement inhabituelle à l’époque. L’intérieur intégralement rouge s’équipe d’un ensemble technologique inédit avec deux ordinateurs de bord, un système de navigation GPS, un radar anticollision et des écrans haute définition en couleur. La Proxima impressionnera le public mais bien entendu aucune mise en production n’est prévue puisqu’elle est avant tout un laboratoire technologique pour le constructeur au lion.
La Proxima signe le retour en force de Peugeot dans le paysage automobile mondial, et fait suite aux deux titres de champion du monde des rallyes glanés en 1985 et 1986. La Proxima ne restera pas sans suite puisque deux ans plus tard sera présenté le concept-car Oxia, qui reprend sa philosophie.
C’est lors du Salon de l’automobile de Paris 1986 que la Proxima trône fièrement sur le stand Peugeot. Présenté comme un coupé 2+2 très futuriste, il ne ressemble à rien d’autre d’existant dans le monde automobile de l’époque. Tout de rouge vêtu et doté d’un habitacle surmonté d’une bulle, il fait la part belle à la technologie et à la performance. La face avant inspirera les futures 405 et 605 alors que l’arrière prend son inspiration du côté des modèles de compétition. Sous le capot, Peugeot n’a pas fait les choses à moitié avec la présence du V6 2.8 l. dopé par deux turbocompresseurs et développant pas moins de 600 ch.
Accouplé à une transmission intégrale issue de la compétition, l’ensemble permet à la Proxima d’atteindre 348 km/h en vitesse de pointe, une valeur totalement inhabituelle à l’époque. L’intérieur intégralement rouge s’équipe d’un ensemble technologique inédit avec deux ordinateurs de bord, un système de navigation GPS, un radar anticollision et des écrans haute définition en couleur. La Proxima impressionnera le public mais bien entendu aucune mise en production n’est prévue puisqu’elle est avant tout un laboratoire technologique pour le constructeur au lion.
La Proxima signe le retour en force de Peugeot dans le paysage automobile mondial, et fait suite aux deux titres de champion du monde des rallyes glanés en 1985 et 1986. La Proxima ne restera pas sans suite puisque deux ans plus tard sera présenté le concept-car Oxia, qui reprend sa philosophie.