Deux ans après la Proxima, Peugeot réitère l’expérience de produire un concept-car prenant la forme d’une supercar et doté de performances exceptionnelles. Elle prend le nom d’Oxia.
HISTOIRE |
Une supercar française
C’est au Salon de l’automobile de Paris 1988 que Peugeot lève le voile sur son nouveau prototype de supercar. L’Oxia a un style impressionnant avec sa faible hauteur, sa largeur conséquente et son imposant aileron arrière. Elle se fond totalement dans le style Peugeot de l’époque avec une face avant proche de la berline 405 (et de la future 605) et un arrière doté de feux proches de la 405. Quatre sorties d’échappements entourent un large diffuseur et les jantes alliages peintes en noir ont un style proche de celles qu’on retrouvera sur la 405 Mi16. Pour contenir le poids, le châssis est réalisé en alliage d’aluminium et la carrosserie en carbone-kevlar. A l’intérieur, la planche de bord est dotée de nombreux équipements modernes, dont un ordinateur regroupant les fonctions de climatisation et de navigation ainsi qu’un radiotéléphone dernier cri. Les sièges baquets avec harnais intégrés permettent à deux personnes de prendre place à bord.
Disposé en position centrale arrière, le moteur V6 PRV d’une cylindrée de 2.8 l. est accouplé à deux turbocompresseurs et développe la puissance impressionnante de 680 ch. Avec une transmission intégrale et quatre roues directrices, les performances de l’Oxia sont de tout premier ordre et inédites pour l’époque. Ainsi, sur le circuit d’essai de Nardo en Italie, un pilote essayeur de Michelin (qui fournit les pneumatiques Michelin MXX en 17’’ de l’Oxia) atteint la vitesse de 349 km/h, démontrant tout le potentiel de ce prototype. Malgré une mise au point aboutie et des performances folles, aucune production en série n’est prévue et seulement deux prototypes de la Peugeot Oxia seront fabriqués.
Très aboutie et faisant rêver les observateurs de l’époque, l’Oxia démontre tout le savoir-faire de Peugeot en matière de voiture sportive. Produite à deux exemplaires, une des deux Oxia sera vendue par Peugeot en 2009 à un collectionneur américain pour 141.528 €.
C’est au Salon de l’automobile de Paris 1988 que Peugeot lève le voile sur son nouveau prototype de supercar. L’Oxia a un style impressionnant avec sa faible hauteur, sa largeur conséquente et son imposant aileron arrière. Elle se fond totalement dans le style Peugeot de l’époque avec une face avant proche de la berline 405 (et de la future 605) et un arrière doté de feux proches de la 405. Quatre sorties d’échappements entourent un large diffuseur et les jantes alliages peintes en noir ont un style proche de celles qu’on retrouvera sur la 405 Mi16. Pour contenir le poids, le châssis est réalisé en alliage d’aluminium et la carrosserie en carbone-kevlar. A l’intérieur, la planche de bord est dotée de nombreux équipements modernes, dont un ordinateur regroupant les fonctions de climatisation et de navigation ainsi qu’un radiotéléphone dernier cri. Les sièges baquets avec harnais intégrés permettent à deux personnes de prendre place à bord.
Disposé en position centrale arrière, le moteur V6 PRV d’une cylindrée de 2.8 l. est accouplé à deux turbocompresseurs et développe la puissance impressionnante de 680 ch. Avec une transmission intégrale et quatre roues directrices, les performances de l’Oxia sont de tout premier ordre et inédites pour l’époque. Ainsi, sur le circuit d’essai de Nardo en Italie, un pilote essayeur de Michelin (qui fournit les pneumatiques Michelin MXX en 17’’ de l’Oxia) atteint la vitesse de 349 km/h, démontrant tout le potentiel de ce prototype. Malgré une mise au point aboutie et des performances folles, aucune production en série n’est prévue et seulement deux prototypes de la Peugeot Oxia seront fabriqués.
Très aboutie et faisant rêver les observateurs de l’époque, l’Oxia démontre tout le savoir-faire de Peugeot en matière de voiture sportive. Produite à deux exemplaires, une des deux Oxia sera vendue par Peugeot en 2009 à un collectionneur américain pour 141.528 €.