La Scarlette est une Panhard assez atypique, puisque qu'elle n'en est pas vraiment une et qu'elle ne restera que quelques mois au catalogue, durant l'été et l'automne 1953.
HISTOIRE |
Une carrière éclair
Le constructeur Rosengart est un constructeur français fondé en 1928, mais qui au début des années 1950, est au bord de la faillite. Sa gamme se compose d'une petite citadine au dessin moderne appelée Ariette, mais à la mécanique vétuste, puisqu'elle ne peut dépasser les 95 km/h. Quant à Panhard, il voit les ventes de la Dyna X s'effondrer car son dessin complexe commence à dater, ce qui le pousse à chercher un moyen d'écouler des châssis de Dyna X avant la présentation de sa remplaçante, la Dyna Z. C'est ainsi que les deux constructeurs français se rapprochent afin de mettre en commun la mécanique moderne et performante de la Panhard Dyna X et la carrosserie moderne et attrayante de la Rosengart Ariette.
C'est ainsi que naît en 1953 la Panhard Scarlette. Esthétiquement, elle ne se distingue de la Rosengart que par la calandre, reprise de la Dyna X. Mais ce qui change tout c'est la mécanique, puisque la Scarlette peut atteindre 135 km/h. Mais dans la foulée du lancement de la Scarlette, la mise au point de la Dyna Z est terminée et est présentée au public. Ainsi, l'attention est intégralement tourné vers la nouvelle Dyna Z, et la Scarlette passe inaperçue. C'est ainsi que, quelques semaines après la mise en production, tout est arrêté et les exemplaires fabriqués sont écoulés difficilement dans les concessions, car la Scarlette n'a plus de raison d'être. C'est ainsi que stoppe la carrière éclair de la Scarlette après seulement quelques semaines de production.
En seulement quelques semaines, 208 exemplaires de la Scarlette furent fabriqués dont quelques cabriolets, ce qui en fait une voiture très rare et très recherchée.
Le constructeur Rosengart est un constructeur français fondé en 1928, mais qui au début des années 1950, est au bord de la faillite. Sa gamme se compose d'une petite citadine au dessin moderne appelée Ariette, mais à la mécanique vétuste, puisqu'elle ne peut dépasser les 95 km/h. Quant à Panhard, il voit les ventes de la Dyna X s'effondrer car son dessin complexe commence à dater, ce qui le pousse à chercher un moyen d'écouler des châssis de Dyna X avant la présentation de sa remplaçante, la Dyna Z. C'est ainsi que les deux constructeurs français se rapprochent afin de mettre en commun la mécanique moderne et performante de la Panhard Dyna X et la carrosserie moderne et attrayante de la Rosengart Ariette.
C'est ainsi que naît en 1953 la Panhard Scarlette. Esthétiquement, elle ne se distingue de la Rosengart que par la calandre, reprise de la Dyna X. Mais ce qui change tout c'est la mécanique, puisque la Scarlette peut atteindre 135 km/h. Mais dans la foulée du lancement de la Scarlette, la mise au point de la Dyna Z est terminée et est présentée au public. Ainsi, l'attention est intégralement tourné vers la nouvelle Dyna Z, et la Scarlette passe inaperçue. C'est ainsi que, quelques semaines après la mise en production, tout est arrêté et les exemplaires fabriqués sont écoulés difficilement dans les concessions, car la Scarlette n'a plus de raison d'être. C'est ainsi que stoppe la carrière éclair de la Scarlette après seulement quelques semaines de production.
En seulement quelques semaines, 208 exemplaires de la Scarlette furent fabriqués dont quelques cabriolets, ce qui en fait une voiture très rare et très recherchée.