Dès 1950, Panhard pense à remplacer la Dyna X par un nouveau modèle capable de transporter 6 personnes et leurs bagages à 130 km/h dans le plus grand confort, tout en conservant la mécanique de la Dyna X.
HISTOIRE |
Une conception avant-gardiste
Comme de coutume chez Panhard, des solutions technique avant-gardiste sont développées pour leur nouveau modèle. Ainsi, la nouvelle Dyna Z reçoit une carrosserie en aluminium, ce qui lui permet de ne peser que 730 kg. Cette légèreté accouplée à l'aérodynamisme très poussé de la voiture, le modeste 850 cm3 de 42 ch. permet donc d'entrainer la Dyna Z à 130 km/h. La Dyna Z est présentée au public en 1953 et est disponible en deux finitions (Luxe et Luxe Spéciale). Cependant, le lancement est difficile à cause notamment d'un prix élevé, en partie due à l'utilisation de l'aluminium.
En 1954, les portières avant reçoivent des déflecteurs, alors qu'en 1955 les pare-chocs perdent leurs butoirs. Mais Panhard revoit sa copie deux ans seulement après le lancement de la Dyna Z, ce qui a pour conséquence que la carrosserie n'est plus produite en aluminium mais en acier. Le poids passe alors à 790 kg., mais cela permet de réduire considérablement les coûts. En 1956, la version Luxe perd le moteur de 42 ch. au profit d'un moteur moins puissant (38 ch.) ce qui la distingue un peu plus de la version Luxe Spéciale. D'ailleurs, on la distingue extérieurement par l'absence de l'antibrouillard central. Cette année-là, une inédite version Cabriolet est disponible.
Une carrière en continue
Pour le millésime 1957, l'arrière reçoit de nouveaux feux plus volumineux qui permettent une efficacité accrue, et cela permet la suppression des feux latéraux arrière. La même année la gamme est remaniée, avec l'intégration d'une troisième finition plus haut de gamme (Grand Luxe). Mais cette nouvelle gamme ne sera pas conservée longtemps, puisque dès 1958 la gamme est de nouveau remaniée. Quatre versions sont alors disponible (Luxe, Grand Luxe, Grand Standing et Grand Standing bicolore). La Luxe est toujours disponible avec le moteur de 38 ch., alors que le reste de la gamme utilise le moteur de 42 ch.
1959 est calme au niveau esthétique, puisque seuls des nouveaux enjoliveurs et contours de phares sont installés. Par contre au niveau mécanique, Panhard crée l'évènement en présentant le moteur Tigre. Son carburateur double corps lui permet de développer 50 ch. et ainsi permet à la Dyna Z d'atteindre 145 km/h ce qui est inhabituel pour l'époque. Mais cette nouvelle version ne perdurera pas longtemps, puisque la production est cessée à la fin de l'année 1959, suite à la présentation de la nouvelle PL17. Le Cabriolet continuera jusqu'en 1960.
Alors qu'elle était novatrice à sa sortie, la Dyna Z due rentrer petit à petit dans le rang au fil de sa carrière, car la réalité économique n'a pas permis à Panhard de développer sa Dyna Z comme il le souhaitait. Elle fut vendue tout de même à 141.348 exemplaires durant ses 9 ans de carrière.
Comme de coutume chez Panhard, des solutions technique avant-gardiste sont développées pour leur nouveau modèle. Ainsi, la nouvelle Dyna Z reçoit une carrosserie en aluminium, ce qui lui permet de ne peser que 730 kg. Cette légèreté accouplée à l'aérodynamisme très poussé de la voiture, le modeste 850 cm3 de 42 ch. permet donc d'entrainer la Dyna Z à 130 km/h. La Dyna Z est présentée au public en 1953 et est disponible en deux finitions (Luxe et Luxe Spéciale). Cependant, le lancement est difficile à cause notamment d'un prix élevé, en partie due à l'utilisation de l'aluminium.
En 1954, les portières avant reçoivent des déflecteurs, alors qu'en 1955 les pare-chocs perdent leurs butoirs. Mais Panhard revoit sa copie deux ans seulement après le lancement de la Dyna Z, ce qui a pour conséquence que la carrosserie n'est plus produite en aluminium mais en acier. Le poids passe alors à 790 kg., mais cela permet de réduire considérablement les coûts. En 1956, la version Luxe perd le moteur de 42 ch. au profit d'un moteur moins puissant (38 ch.) ce qui la distingue un peu plus de la version Luxe Spéciale. D'ailleurs, on la distingue extérieurement par l'absence de l'antibrouillard central. Cette année-là, une inédite version Cabriolet est disponible.
Une carrière en continue
Pour le millésime 1957, l'arrière reçoit de nouveaux feux plus volumineux qui permettent une efficacité accrue, et cela permet la suppression des feux latéraux arrière. La même année la gamme est remaniée, avec l'intégration d'une troisième finition plus haut de gamme (Grand Luxe). Mais cette nouvelle gamme ne sera pas conservée longtemps, puisque dès 1958 la gamme est de nouveau remaniée. Quatre versions sont alors disponible (Luxe, Grand Luxe, Grand Standing et Grand Standing bicolore). La Luxe est toujours disponible avec le moteur de 38 ch., alors que le reste de la gamme utilise le moteur de 42 ch.
1959 est calme au niveau esthétique, puisque seuls des nouveaux enjoliveurs et contours de phares sont installés. Par contre au niveau mécanique, Panhard crée l'évènement en présentant le moteur Tigre. Son carburateur double corps lui permet de développer 50 ch. et ainsi permet à la Dyna Z d'atteindre 145 km/h ce qui est inhabituel pour l'époque. Mais cette nouvelle version ne perdurera pas longtemps, puisque la production est cessée à la fin de l'année 1959, suite à la présentation de la nouvelle PL17. Le Cabriolet continuera jusqu'en 1960.
Alors qu'elle était novatrice à sa sortie, la Dyna Z due rentrer petit à petit dans le rang au fil de sa carrière, car la réalité économique n'a pas permis à Panhard de développer sa Dyna Z comme il le souhaitait. Elle fut vendue tout de même à 141.348 exemplaires durant ses 9 ans de carrière.
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