Lorsque deux constructeurs prestigieux tels que Mercedes-Benz et McLaren s’associent pour développer une supercar, cela abouti forcément à la naissance d’un modèle exceptionnel. C’est ainsi qu’est présentée en 2003 la SLR McLaren.
HISTOIRE |
Une supercar, deux constructeurs
L’origine de la SLR remonte à 1999, où Mercedes-Benz présente la Vision SLR, un concept-car développée en collaboration avec McLaren. Hommage aux 300 SLR de course datant des années 1950, la Vision SLR impose déjà le style et les caractéristiques de la future version de série. Présentée en 2003, la SLR McLaren impressionne par son dessin, mais également par sa conception très moderne. Ainsi, on découvre une structure en fibre de carbone, des suspensions en aluminium et des disques de frein en carbone-céramique, des éléments permettant de réduire considérablement le poids tout en améliorant l’efficacité. Sous l’immense capot avant se loge un V8 5.4 l. associé à un compresseur développant la puissance impressionnante de 626 ch. et un couple de 780 Nm, ce qui en fait une des voitures de série les plus puissantes de son époque. L’ensemble est accouplé à une boite de vitesse automatique à cinq vitesses, avec commande séquentielle au volant. Malgré un poids de 1.764 kg., la SLR abat le 0 à 100 km/h en seulement 3,8 secondes et atteint 334 km/h en vitesse de pointe. Elle sera produite dans l’usine McLaren de Woking, en Angleterre.
En 2006 est présentée la SLR 722 Edition, qui rend hommage à la 300 SLR qui remporta les Mille Miglia en 1955. L’équipage était composé alors de Sir Stirling Moss et Denis Jenkinson et la voiture portait le n°722. Par rapport à la SLR normale, elle se distingue notamment par ses jantes noires de 19’’, ses logos 722 sur les ailes avant, sa garde au sol abaissée de 10 mm. et son intérieur spécifique avec habillages en carbone. Le moteur est amélioré, avec une puissance portée à 650 ch. et le couple à 820 Nm. Elle gagne ainsi 0,2 secondes sur l’exercice du 0 à 100 km/h et 3 km/h en vitesse de pointe. L’année suivante est présentée à son tour la version roadster de la SLR McLaren, qui reprend en tout point les caractéristiques de la version coupé, hormis qu’elle se dote d’un toit en tissus rétractable électriquement.
En 2009, deux nouvelles versions de la SLR sont présentées. La première est la SLR 722 S Roadster, qui reprend la plupart des éléments de la 722 Edition, mais sur la carrosserie roadster. Seules les jantes spécifiques à cette version ne sont pas reprises du coupé. Elle sera produite à seulement 150 exemplaires. Cette même année est produite à 75 exemplaires la SLR Stirling Moss, un speedster à la carrosserie spécifique rendant hommage à la 300 SLR de 1955. Sans toit, ni pare-brise, elle perd 200 kg. sur la balance par rapport à la SLR normale, et se dote de la mécanique des versions 722. Ainsi, elle atteint 350 km/h en vitesse de pointe et effectue le 0 à 100 km/h en seulement 3,5 secondes. La production de la SLR McLaren cessera en cette fin d’année 2009 suite à la fin de la collaboration entre les deux constructeurs. McLaren annonce cependant produire 25 derniers exemplaires en autonomie en 2010, dotée d’un kit carrosserie spécifique, de logos Mercedes-Benz assombris et des étriers de freins peints en orange. Appelée SLR Edition, elle s’équipe de trains roulants et d’un freinage optimisé, mais reprend la mécanique de la SLR normale sans aucun changement.
Produite à 1.789 exemplaires entre 2003 et 2010, la SLR McLaren n’attendra pas l’objectif initial de 3.500 voitures produites. Mais avec son style unique et ses performances de premier ordre, elle sera une concurrente sérieuse dans le monde des supercars durant les années 2000.
L’origine de la SLR remonte à 1999, où Mercedes-Benz présente la Vision SLR, un concept-car développée en collaboration avec McLaren. Hommage aux 300 SLR de course datant des années 1950, la Vision SLR impose déjà le style et les caractéristiques de la future version de série. Présentée en 2003, la SLR McLaren impressionne par son dessin, mais également par sa conception très moderne. Ainsi, on découvre une structure en fibre de carbone, des suspensions en aluminium et des disques de frein en carbone-céramique, des éléments permettant de réduire considérablement le poids tout en améliorant l’efficacité. Sous l’immense capot avant se loge un V8 5.4 l. associé à un compresseur développant la puissance impressionnante de 626 ch. et un couple de 780 Nm, ce qui en fait une des voitures de série les plus puissantes de son époque. L’ensemble est accouplé à une boite de vitesse automatique à cinq vitesses, avec commande séquentielle au volant. Malgré un poids de 1.764 kg., la SLR abat le 0 à 100 km/h en seulement 3,8 secondes et atteint 334 km/h en vitesse de pointe. Elle sera produite dans l’usine McLaren de Woking, en Angleterre.
En 2006 est présentée la SLR 722 Edition, qui rend hommage à la 300 SLR qui remporta les Mille Miglia en 1955. L’équipage était composé alors de Sir Stirling Moss et Denis Jenkinson et la voiture portait le n°722. Par rapport à la SLR normale, elle se distingue notamment par ses jantes noires de 19’’, ses logos 722 sur les ailes avant, sa garde au sol abaissée de 10 mm. et son intérieur spécifique avec habillages en carbone. Le moteur est amélioré, avec une puissance portée à 650 ch. et le couple à 820 Nm. Elle gagne ainsi 0,2 secondes sur l’exercice du 0 à 100 km/h et 3 km/h en vitesse de pointe. L’année suivante est présentée à son tour la version roadster de la SLR McLaren, qui reprend en tout point les caractéristiques de la version coupé, hormis qu’elle se dote d’un toit en tissus rétractable électriquement.
En 2009, deux nouvelles versions de la SLR sont présentées. La première est la SLR 722 S Roadster, qui reprend la plupart des éléments de la 722 Edition, mais sur la carrosserie roadster. Seules les jantes spécifiques à cette version ne sont pas reprises du coupé. Elle sera produite à seulement 150 exemplaires. Cette même année est produite à 75 exemplaires la SLR Stirling Moss, un speedster à la carrosserie spécifique rendant hommage à la 300 SLR de 1955. Sans toit, ni pare-brise, elle perd 200 kg. sur la balance par rapport à la SLR normale, et se dote de la mécanique des versions 722. Ainsi, elle atteint 350 km/h en vitesse de pointe et effectue le 0 à 100 km/h en seulement 3,5 secondes. La production de la SLR McLaren cessera en cette fin d’année 2009 suite à la fin de la collaboration entre les deux constructeurs. McLaren annonce cependant produire 25 derniers exemplaires en autonomie en 2010, dotée d’un kit carrosserie spécifique, de logos Mercedes-Benz assombris et des étriers de freins peints en orange. Appelée SLR Edition, elle s’équipe de trains roulants et d’un freinage optimisé, mais reprend la mécanique de la SLR normale sans aucun changement.
Produite à 1.789 exemplaires entre 2003 et 2010, la SLR McLaren n’attendra pas l’objectif initial de 3.500 voitures produites. Mais avec son style unique et ses performances de premier ordre, elle sera une concurrente sérieuse dans le monde des supercars durant les années 2000.
MODÈLES CONCURRENTS |
|
|