Lorsque Mercedes-Benz présente la 190 en 1983, la volonté de la firme à l'étoile est simple : profiter de l'engouement pour les voitures compactes et venir contrer le voisin bavarois qui rencontre un immense succès avec sa Série 3.
HISTOIRE |
Baby Benz
Lors du lancement de la 190 en 1983, la nouvelle berline à l'étoile est disponible en deux versions, 190 (2.0 l., 90 ch., alimentation à carburateur) et 190 E (2.0 l., 122 ch., alimentation par injection). La seconde reçoit un équipement plus complet, mais rien ne distingue esthétiquement les deux versions. L'année suivante, la gamme s'élargie avec l'arrivée de la version diesel, la 190 D. Sous le capot, on retrouve un 2.0 l. diesel offrant la puissance de 72 ch. Elle reprend l'équipement de la 190. Pour le millésime 1985, présentation de la 190 E 2.3-16. Sous le capot, on retrouve un quatre cylindres en ligne 2.3 l. à 16 soupapes offrant 185 ch. Extérieurement, elle se distingue par son kit carrosserie spécifique (extensions d'aile, bas de caisse, spoiler et aileron) et ses jantes en aluminium alors qu'à l'intérieur elle reçoit des sièges baquets. Le reste de la gamme (190, 190 E et 190 D) est désormais disponible en deux finitions (Standard ou Confort).
En 1986, arrivée d'une seconde version diesel, la 190 D 2.5. Sous le capot on retrouve un cinq cylindres 2.5 l. offrant 90 ch. En option, elle peut recevoir une boite automatique à quatre rapports mais l'équipement et la présentation sont identiques aux autres versions. Pour 1987, deux nouvelles versions essence entrent dans la gamme. La première est la 190 E 2.3, qui reçoit sous le capot un quatre cylindres en ligne 2.3 l. de 136 ch. Elle reprend l'équipement de la finition Confort. La seconde version est la 190 E 2.6 qui adopte un six cylindres en ligne 2.6 l. de 166 ch. Elle reprend l'équipement de la 190 E 2.3 en y ajoutant l'ABS, les rétroviseurs électriques, le volant cuir et l'indicateur e température extérieure. Les deux versions peuvent adopter en option d'une boite automatique à quatre rapports.
Restylage
Première série limitée en 1988, appelée Sensation. Basée sur les 190 E et 190 D 2.5, elle se distingue par son ABS, ses vitres teintées et ses coloris (noir ou argent cendré). Restylage en 1989, avec de nouveaux pare-chocs, de nouveaux bandeaux latéraux et de nouveaux bas de caisse. Toute la gamme reçoit l'ABS en série, alors que les sièges sont modifiés à l'avant comme à l'arrière. La 190 E 2.5-16 (2.5 l., 204 ch.) remplace la 190 E 2.3-16. Un nouveau diesel est présenté, il s'agit de la 190 D 2.5 Turbo. Sous le capot, on retrouve un cinq cylindres en ligne 2.5 l. turbocompressé offrant 126 ch. Cependant, cette version est uniquement disponible avec la boite automatique à quatre rapports. Enfin, en cours d'année présentation de la 190 E 2.5-16 Evolution I, qui reçoit un kit carrosserie s'inspirant de la version course de la 190.
En 1990, présentation de la version Sportline, qui se distingue entre autre par sa suspension abaissée, ses jantes en aluminium et ses pneus larges. La 190 D 2.5 Turbo est désormais disponible en boite mécanique, alors que la 190 E 2.5-16 Evolution II fait son apparition. Nouvelle série limitée Contact au tarif attractif, disponible avec le nouveau moteur 190 E 1.8 l. (4 cylindres en ligne, 109 ch., alimentation par injection) et le moteur 190 D. 1991 voit la disparition de la 190 à carburateur. En 1992, nouvelle série limitée Azzuro, basée sur la 190 E. Produite à 300 exemplaires, elle se distingue entre autre par se peinture bleu métallisé, ses boiseries sur le tableau de bord et son airbag conducteur. La fin de carrière de la 190 est actée pour le millésime 1993. Cette année-là, série limitée Optimum disponible avec les 190 E 2.8, 190 E 2.0, 190 D, 190 D 2.5 et 190 D 2.5 Turbo. Elle reçoit notamment un catalyseur, un airbag conducteur, des jantes en aluminium spécifiques et des boiseries sur le tableau de bord. En fin d'année, la production est arrêtée pour laisser la place à la Classe C W202.
Produite à 1.879.629 exemplaires en dix ans, la 190 W201 rencontra un joli succès malgré des tarifs élevés (semblables à la catégorie supérieure) et un équipement de base assez maigre.
Lors du lancement de la 190 en 1983, la nouvelle berline à l'étoile est disponible en deux versions, 190 (2.0 l., 90 ch., alimentation à carburateur) et 190 E (2.0 l., 122 ch., alimentation par injection). La seconde reçoit un équipement plus complet, mais rien ne distingue esthétiquement les deux versions. L'année suivante, la gamme s'élargie avec l'arrivée de la version diesel, la 190 D. Sous le capot, on retrouve un 2.0 l. diesel offrant la puissance de 72 ch. Elle reprend l'équipement de la 190. Pour le millésime 1985, présentation de la 190 E 2.3-16. Sous le capot, on retrouve un quatre cylindres en ligne 2.3 l. à 16 soupapes offrant 185 ch. Extérieurement, elle se distingue par son kit carrosserie spécifique (extensions d'aile, bas de caisse, spoiler et aileron) et ses jantes en aluminium alors qu'à l'intérieur elle reçoit des sièges baquets. Le reste de la gamme (190, 190 E et 190 D) est désormais disponible en deux finitions (Standard ou Confort).
En 1986, arrivée d'une seconde version diesel, la 190 D 2.5. Sous le capot on retrouve un cinq cylindres 2.5 l. offrant 90 ch. En option, elle peut recevoir une boite automatique à quatre rapports mais l'équipement et la présentation sont identiques aux autres versions. Pour 1987, deux nouvelles versions essence entrent dans la gamme. La première est la 190 E 2.3, qui reçoit sous le capot un quatre cylindres en ligne 2.3 l. de 136 ch. Elle reprend l'équipement de la finition Confort. La seconde version est la 190 E 2.6 qui adopte un six cylindres en ligne 2.6 l. de 166 ch. Elle reprend l'équipement de la 190 E 2.3 en y ajoutant l'ABS, les rétroviseurs électriques, le volant cuir et l'indicateur e température extérieure. Les deux versions peuvent adopter en option d'une boite automatique à quatre rapports.
Restylage
Première série limitée en 1988, appelée Sensation. Basée sur les 190 E et 190 D 2.5, elle se distingue par son ABS, ses vitres teintées et ses coloris (noir ou argent cendré). Restylage en 1989, avec de nouveaux pare-chocs, de nouveaux bandeaux latéraux et de nouveaux bas de caisse. Toute la gamme reçoit l'ABS en série, alors que les sièges sont modifiés à l'avant comme à l'arrière. La 190 E 2.5-16 (2.5 l., 204 ch.) remplace la 190 E 2.3-16. Un nouveau diesel est présenté, il s'agit de la 190 D 2.5 Turbo. Sous le capot, on retrouve un cinq cylindres en ligne 2.5 l. turbocompressé offrant 126 ch. Cependant, cette version est uniquement disponible avec la boite automatique à quatre rapports. Enfin, en cours d'année présentation de la 190 E 2.5-16 Evolution I, qui reçoit un kit carrosserie s'inspirant de la version course de la 190.
En 1990, présentation de la version Sportline, qui se distingue entre autre par sa suspension abaissée, ses jantes en aluminium et ses pneus larges. La 190 D 2.5 Turbo est désormais disponible en boite mécanique, alors que la 190 E 2.5-16 Evolution II fait son apparition. Nouvelle série limitée Contact au tarif attractif, disponible avec le nouveau moteur 190 E 1.8 l. (4 cylindres en ligne, 109 ch., alimentation par injection) et le moteur 190 D. 1991 voit la disparition de la 190 à carburateur. En 1992, nouvelle série limitée Azzuro, basée sur la 190 E. Produite à 300 exemplaires, elle se distingue entre autre par se peinture bleu métallisé, ses boiseries sur le tableau de bord et son airbag conducteur. La fin de carrière de la 190 est actée pour le millésime 1993. Cette année-là, série limitée Optimum disponible avec les 190 E 2.8, 190 E 2.0, 190 D, 190 D 2.5 et 190 D 2.5 Turbo. Elle reçoit notamment un catalyseur, un airbag conducteur, des jantes en aluminium spécifiques et des boiseries sur le tableau de bord. En fin d'année, la production est arrêtée pour laisser la place à la Classe C W202.
Produite à 1.879.629 exemplaires en dix ans, la 190 W201 rencontra un joli succès malgré des tarifs élevés (semblables à la catégorie supérieure) et un équipement de base assez maigre.
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