Le dernier coupé Matra lancé en 1981 reprend l’architecture unique de son prédécesseur, c’est à dire un moteur en position centrale arrière et trois places à l’avant. Il prend le nom de Murena.
HISTOIRE |
Un coupé unique
Au lancement, le millésime 1981 prend le nom de code “Série B” est la gamme est divisé en deux motorisations à quatre cylindres. Le premier est un 1.6 l. offrant 92 ch. et le second est un 2.2 l. de 118 ch. Cette dernière version se distingue par un équipement enrichit (jantes en alliage, vitres électriques, …) et des suspensions retravaillées afin d’améliorer le comportement. Les deux versions peuvent recevoir une peinture métallisée en option. En cours d'année, une version à 16 soupapes du 2.2 l. est présentée (178 ch.) mais elle ne sera jamais produite en série.
En 1982, la “Série C” succède à la ”Série B” et plusieurs modifications sont apportées. Les commodos passent au plastique, la casquette du tableau de bord est raccourcie, les aiguilles du compteur sur le 1.6 l. passent au blanc, la tringlerie de marche arrière est nouvelle, le réservoir de lave-glace est unifié entre les deux versions, et des plastiques de protection apparaissent sur les charnières de capot et sur l’électrovanne de commande des phares. En cours d’année, apparition de la “préparation 142” qui peut être installée sur demande. Basée sur la version 2.2 l., la puissance passe à 142 ch. et elle reçoit un becquet en caoutchouc à l’arrière. Sur cette version, ce sont des pneumatiques Michelin MXV qui sont installés.
Une carrière trop courte
En 1983, la “Série D” prend la relève. Un toit ouvrant en toile est disponible en option, alors que le verrouillage centralisé apparaît (en option sur la 1.6 l. et en série sur la 2.2 l.). Les vide-poches sont unifiés entre les deux versions, le siège conducteur est abaissé de 15 mm. et la sellerie est nouvelle sur la 2.2 l.
1984 (Série E) sera la dernière année de production. Les versions 1.6 l. et 2.2 l. disparaissent au profit de la Murena S qui reprend la mécanique et la présentation de la “préparation 142”. En fin d’année, arrêt de la production après seulement quatre ans de carrière.
Arrivé au moment de la vague des GTI, la Murena ne manquait pas de qualité pour s'imposer. Mais la mode au début des années 1980 n'était plus aux coupés, mais aux compactes sportives, ce qui explique un chiffre de production de seulement 10.680 exemplaires.
Au lancement, le millésime 1981 prend le nom de code “Série B” est la gamme est divisé en deux motorisations à quatre cylindres. Le premier est un 1.6 l. offrant 92 ch. et le second est un 2.2 l. de 118 ch. Cette dernière version se distingue par un équipement enrichit (jantes en alliage, vitres électriques, …) et des suspensions retravaillées afin d’améliorer le comportement. Les deux versions peuvent recevoir une peinture métallisée en option. En cours d'année, une version à 16 soupapes du 2.2 l. est présentée (178 ch.) mais elle ne sera jamais produite en série.
En 1982, la “Série C” succède à la ”Série B” et plusieurs modifications sont apportées. Les commodos passent au plastique, la casquette du tableau de bord est raccourcie, les aiguilles du compteur sur le 1.6 l. passent au blanc, la tringlerie de marche arrière est nouvelle, le réservoir de lave-glace est unifié entre les deux versions, et des plastiques de protection apparaissent sur les charnières de capot et sur l’électrovanne de commande des phares. En cours d’année, apparition de la “préparation 142” qui peut être installée sur demande. Basée sur la version 2.2 l., la puissance passe à 142 ch. et elle reçoit un becquet en caoutchouc à l’arrière. Sur cette version, ce sont des pneumatiques Michelin MXV qui sont installés.
Une carrière trop courte
En 1983, la “Série D” prend la relève. Un toit ouvrant en toile est disponible en option, alors que le verrouillage centralisé apparaît (en option sur la 1.6 l. et en série sur la 2.2 l.). Les vide-poches sont unifiés entre les deux versions, le siège conducteur est abaissé de 15 mm. et la sellerie est nouvelle sur la 2.2 l.
1984 (Série E) sera la dernière année de production. Les versions 1.6 l. et 2.2 l. disparaissent au profit de la Murena S qui reprend la mécanique et la présentation de la “préparation 142”. En fin d’année, arrêt de la production après seulement quatre ans de carrière.
Arrivé au moment de la vague des GTI, la Murena ne manquait pas de qualité pour s'imposer. Mais la mode au début des années 1980 n'était plus aux coupés, mais aux compactes sportives, ce qui explique un chiffre de production de seulement 10.680 exemplaires.
MODÈLES CONCURRENTS |
|