Pour remplacer l’Y10 qui fut un vrai succès pour Lancia, le constructeur italien décide de reconduire le concept de petite citadine très à l’aise en milieu urbain. Cela abouti à la nouvelle Lancia Y présentée en 1996.
HISTOIRE |
Une reine des villes chic
Dessinée par Enrico Fumia et utilisant la plate-forme raccourcie de la Fiat Punto, la nouvelle Lancia Y se veut bien plus moderne et dans l’air du temps que l’Y10 qu’elle remplace. Ainsi, on découvre un dessin plus moderne avec des courbes plus marquées alors qu’à l’avant la calandre s’inspire fortement de sa grande sœur la Delta II. L’intérieur n’est pas en reste avec une finition en net progrès par rapport à sa devancière et un dessin original avec la présence du bloc compteur au centre de la planche de bord. Au lancement en 1996, deux motorisations et trois finitions sont disponibles. Un 1.2 l. développant 60 ch. (finitions LE et LS) et un 1.4 l. développant 80 ch. (finitions LS et LX). Pour le millésime 1997, Lancia propose en collaboration avec PPG Industries un nuancier élargie à une centaine de teintes de carrosserie (dont 70 métallisées). Ce programme prend le nom de Kaleidos.
L’année suivante pour pouvoir proposer un prix d’appel plus intéressant, la finition Elefantino est disponible. Elle reçoit sous son capot un moteur 1.1 l. offrant 55 ch. La gamme continue d’évoluer en 1999 avec la suppression du moteur 1.4 l. remplacé par un 1.2 l. 16V développant 86 ch. La finition Elefantino devient Elefantino Blu (moteurs 1.1 l. et 1.2 l.) et la finition LE disparait. Ainsi, la finition LS est disponible avec les moteurs 1.2 l. et 1.2 l. 16V et la finition LX est uniquement proposée avec le 1.2 l. 16V. La finition Elefantino Rosso à la philosophie plus sportive (jantes aluminium 15’’, amortissement plus ferme et boite de vitesse raccourcie) est lancée avec le 1.2 l. 16V. En fin d’année le 1.1 l. de 55 ch. est retiré du catalogue.
En 2000, la Lancia Y reçoit un léger restylage. De nouveaux pare-chocs, de nouveaux antibrouillards et les protections latérales peintes couleur carrosserie sont au programme de ce rajeunissement. L’intérieur évolue légèrement (nouveau volant et appuie-têtes). Tous les moteurs sont modifiés pour correspondre à la norme Euro-3, ce qui a pour conséquence la baisse de puissance du 1.2 l. 16V (80 ch.). L’année suivante, une cinquième finition est proposée. Appelée Caprice, elle reçoit une présentation plus flatteuse. En 2002, la gamme est simplifiée car elle arrive en fin de carrière. Ainsi, l’offre s’organise autour de trois finitions appelées Unica (1.2 l. et 1.2 l. 16V), Vanity (1.2 l. et 1.2 l. 16V) et Avenue (1.2 l. 16V). Cette nouvelle gamme ne restera pas très longtemps au catalogue car la Lancia Y sera arrêtée en 2003 suite à la présentation de sa remplaçante, l’Ypsilon.
Produite à 802.605 exemplaires en huit ans de carrière, la Lancia Y permettra au constructeur italien de confirmer sa place forte sur le segment des petites citadines. Ce marché est tellement important pour Lancia qu’il ne tardera pas à présenter sa remplaçante l’Ypsilon dès 2003.
Dessinée par Enrico Fumia et utilisant la plate-forme raccourcie de la Fiat Punto, la nouvelle Lancia Y se veut bien plus moderne et dans l’air du temps que l’Y10 qu’elle remplace. Ainsi, on découvre un dessin plus moderne avec des courbes plus marquées alors qu’à l’avant la calandre s’inspire fortement de sa grande sœur la Delta II. L’intérieur n’est pas en reste avec une finition en net progrès par rapport à sa devancière et un dessin original avec la présence du bloc compteur au centre de la planche de bord. Au lancement en 1996, deux motorisations et trois finitions sont disponibles. Un 1.2 l. développant 60 ch. (finitions LE et LS) et un 1.4 l. développant 80 ch. (finitions LS et LX). Pour le millésime 1997, Lancia propose en collaboration avec PPG Industries un nuancier élargie à une centaine de teintes de carrosserie (dont 70 métallisées). Ce programme prend le nom de Kaleidos.
L’année suivante pour pouvoir proposer un prix d’appel plus intéressant, la finition Elefantino est disponible. Elle reçoit sous son capot un moteur 1.1 l. offrant 55 ch. La gamme continue d’évoluer en 1999 avec la suppression du moteur 1.4 l. remplacé par un 1.2 l. 16V développant 86 ch. La finition Elefantino devient Elefantino Blu (moteurs 1.1 l. et 1.2 l.) et la finition LE disparait. Ainsi, la finition LS est disponible avec les moteurs 1.2 l. et 1.2 l. 16V et la finition LX est uniquement proposée avec le 1.2 l. 16V. La finition Elefantino Rosso à la philosophie plus sportive (jantes aluminium 15’’, amortissement plus ferme et boite de vitesse raccourcie) est lancée avec le 1.2 l. 16V. En fin d’année le 1.1 l. de 55 ch. est retiré du catalogue.
En 2000, la Lancia Y reçoit un léger restylage. De nouveaux pare-chocs, de nouveaux antibrouillards et les protections latérales peintes couleur carrosserie sont au programme de ce rajeunissement. L’intérieur évolue légèrement (nouveau volant et appuie-têtes). Tous les moteurs sont modifiés pour correspondre à la norme Euro-3, ce qui a pour conséquence la baisse de puissance du 1.2 l. 16V (80 ch.). L’année suivante, une cinquième finition est proposée. Appelée Caprice, elle reçoit une présentation plus flatteuse. En 2002, la gamme est simplifiée car elle arrive en fin de carrière. Ainsi, l’offre s’organise autour de trois finitions appelées Unica (1.2 l. et 1.2 l. 16V), Vanity (1.2 l. et 1.2 l. 16V) et Avenue (1.2 l. 16V). Cette nouvelle gamme ne restera pas très longtemps au catalogue car la Lancia Y sera arrêtée en 2003 suite à la présentation de sa remplaçante, l’Ypsilon.
Produite à 802.605 exemplaires en huit ans de carrière, la Lancia Y permettra au constructeur italien de confirmer sa place forte sur le segment des petites citadines. Ce marché est tellement important pour Lancia qu’il ne tardera pas à présenter sa remplaçante l’Ypsilon dès 2003.
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