Après la présentation d’un concept-car réussi en 2000, c’est trois ans plus tard que Ford lancera la StreetKa, un petit cabriolet basé sur la Ka et développé en collaboration avec Pininfarina.
HISTOIRE |
Ka Cabriolet
Afin de redynamiser la gamme de sa minicitadine Ka, Ford présente au Salon de l’automobile de Paris en 2003 la StreetKa. Prenant la forme d’un petit cabriolet biplace, il fut développé avec le carrossier italien Pininfarina, qui est à l’origine du concept-car StreeKa datant de 2000. C’est également ce dernier qui s’occupe de l’assemblage dans son usine de Turin. Esthétiquement, seuls les phares avant et le capot sont communs à la Ka, le reste étant totalement inédit. La face avant est partagée avec la SportKa, alors que la partie arrière rebondie est plutôt réussie. Les deux arceaux en aluminium donnent du cachet à la ligne de la StreetKa, accentué par les jantes en aluminium de 16’’ et l’assiette abaissée de 30 mm. par rapport à la Ka. L’habitacle se montre moins exclusif, avec une planche de bord inchangée, hormis la partie centrale peinte en bleu. Toutefois, les sièges sont abaissés afin d’offrir une position de conduite plus agréable pour ce type de véhicule. L’équipement se montre complet mais la capote en toile est manuelle et il faut une trentaine de secondes pour transformer la StreetKa en petit roadster.
Au niveau mécanique, le châssis et le moteur sont repris de la SportKa. Au programme, trains roulants retravaillés par rapport à la citadine dont elle dérive, et moteur 1.6 l. Duratec développant 95 ch. Avec une tonne sur la balance, les performances se montrent correctes mais sont assez loin des références de la catégorie. Au lancement, deux finitions sont disponibles (Basic et Luxury) sur certains marchés, mais en France la StreetKa est proposée avec une finition unique. Seulement 1.200 exemplaires sont réservés au marché français en 2003. La StreetKa restera au catalogue du constructeur américain pendant seulement trois ans, tirant sa révérence en 2006. La seule évolution interviendra en 2005, lorsque la planche de bord sera modifiée au niveau de la boite à gant. Malgré de belles qualités dynamiques et un style réussi, son arrivée tardive dans la gamme aura raison de son succès, et la StreetKa ne connaitra pas de descendance.
Produite à 37.076 exemplaires en seulement trois ans, la StreetKa a permis à Ford de proposer un petit cabriolet décalé dans sa gamme à moindre coût. Arrivée en fin de vie de la Ka, elle accusera le coup face à pléthore de concurrentes.
Afin de redynamiser la gamme de sa minicitadine Ka, Ford présente au Salon de l’automobile de Paris en 2003 la StreetKa. Prenant la forme d’un petit cabriolet biplace, il fut développé avec le carrossier italien Pininfarina, qui est à l’origine du concept-car StreeKa datant de 2000. C’est également ce dernier qui s’occupe de l’assemblage dans son usine de Turin. Esthétiquement, seuls les phares avant et le capot sont communs à la Ka, le reste étant totalement inédit. La face avant est partagée avec la SportKa, alors que la partie arrière rebondie est plutôt réussie. Les deux arceaux en aluminium donnent du cachet à la ligne de la StreetKa, accentué par les jantes en aluminium de 16’’ et l’assiette abaissée de 30 mm. par rapport à la Ka. L’habitacle se montre moins exclusif, avec une planche de bord inchangée, hormis la partie centrale peinte en bleu. Toutefois, les sièges sont abaissés afin d’offrir une position de conduite plus agréable pour ce type de véhicule. L’équipement se montre complet mais la capote en toile est manuelle et il faut une trentaine de secondes pour transformer la StreetKa en petit roadster.
Au niveau mécanique, le châssis et le moteur sont repris de la SportKa. Au programme, trains roulants retravaillés par rapport à la citadine dont elle dérive, et moteur 1.6 l. Duratec développant 95 ch. Avec une tonne sur la balance, les performances se montrent correctes mais sont assez loin des références de la catégorie. Au lancement, deux finitions sont disponibles (Basic et Luxury) sur certains marchés, mais en France la StreetKa est proposée avec une finition unique. Seulement 1.200 exemplaires sont réservés au marché français en 2003. La StreetKa restera au catalogue du constructeur américain pendant seulement trois ans, tirant sa révérence en 2006. La seule évolution interviendra en 2005, lorsque la planche de bord sera modifiée au niveau de la boite à gant. Malgré de belles qualités dynamiques et un style réussi, son arrivée tardive dans la gamme aura raison de son succès, et la StreetKa ne connaitra pas de descendance.
Produite à 37.076 exemplaires en seulement trois ans, la StreetKa a permis à Ford de proposer un petit cabriolet décalé dans sa gamme à moindre coût. Arrivée en fin de vie de la Ka, elle accusera le coup face à pléthore de concurrentes.
MODÈLES CONCURRENTS |
|