La Puma est née de la volonté de Ford de produire un modèle destiné aux jeunes. Basée sur la Fiesta de quatrième génération, ce petit coupé offre un style plaisant tout en conservant des tarifs attractifs.
HISTOIRE |
Un joli petit coupé
Au Salon de l’automobile de Genève 1997, Ford lève le voile sur son nouveau coupé Puma. S’inspirant très clairement du concept-car Lynx présenté un an plus tôt, il reprend la base technique de la Fiesta IV. Sous le capot, on retrouve une mécanique développée en collaboration avec Yamaha, un 1.7 l. 16v Zetec offrant 125 ch. L’équipement est complet et les trains roulants revus par rapport à la Fiesta la rendent attrayante et le succès ne se fait pas attendre. L’année suivante une seconde version est proposée au catalogue. On retrouve alors sous le capot un 1.4 l. 16v de 90 ch. Elle se passe de l’ABS et des jantes alliages par rapport à la version de 125 ch.
Au Salon de Genève 1999, Ford présente le concept-car Puma ST160 qui se dote comme son nom l’indique d’un moteur de 160 ch. Elle restera malheureusement à l’état de prototype, hormis en Angleterre ou la version de série appelée Puma Racing sera produite à 500 exemplaires. En 2000, le 1.4 l. 16v est remplacée par un 1.6 l. de 103 ch. qu’on retrouve déjà sous le capot de la Fiesta IV S. L’équipement global s’enrichit (ABS en série, airbag passager et rétroviseurs électriques). La Puma n’évoluera plus jusqu’en 2002 où sa production sera arrêtée. Il n’y aura pas de remplaçante directe dans la gamme Ford, même si la StreetKa reprendra le rôle de petite voiture sympa destinée aux jeunes.
Produit à 129.399 exemplaires en moins de 6 ans, la Ford Puma rencontrera un joli succès et sera une vraie alternative aux citadines plus classiques.
Au Salon de l’automobile de Genève 1997, Ford lève le voile sur son nouveau coupé Puma. S’inspirant très clairement du concept-car Lynx présenté un an plus tôt, il reprend la base technique de la Fiesta IV. Sous le capot, on retrouve une mécanique développée en collaboration avec Yamaha, un 1.7 l. 16v Zetec offrant 125 ch. L’équipement est complet et les trains roulants revus par rapport à la Fiesta la rendent attrayante et le succès ne se fait pas attendre. L’année suivante une seconde version est proposée au catalogue. On retrouve alors sous le capot un 1.4 l. 16v de 90 ch. Elle se passe de l’ABS et des jantes alliages par rapport à la version de 125 ch.
Au Salon de Genève 1999, Ford présente le concept-car Puma ST160 qui se dote comme son nom l’indique d’un moteur de 160 ch. Elle restera malheureusement à l’état de prototype, hormis en Angleterre ou la version de série appelée Puma Racing sera produite à 500 exemplaires. En 2000, le 1.4 l. 16v est remplacée par un 1.6 l. de 103 ch. qu’on retrouve déjà sous le capot de la Fiesta IV S. L’équipement global s’enrichit (ABS en série, airbag passager et rétroviseurs électriques). La Puma n’évoluera plus jusqu’en 2002 où sa production sera arrêtée. Il n’y aura pas de remplaçante directe dans la gamme Ford, même si la StreetKa reprendra le rôle de petite voiture sympa destinée aux jeunes.
Produit à 129.399 exemplaires en moins de 6 ans, la Ford Puma rencontrera un joli succès et sera une vraie alternative aux citadines plus classiques.