En fin de vie de la 575M Maranello, Ferrari présente en 2004 un dérivé cabriolet baptisé sobrement Superamerica. Au programme, un V12 de 540 ch. et un toit pivotant en verre à la technologie breveté.
HISTOIRE |
Un toit unique
Alors que la 575M Maranello arrive en fin de carrière, Ferrari décide de proposer un dérivé cabriolet original à sa GT à moteur V12. Succédant dans la gamme à la 550 Barchetta, la nouvelle Superamerica propose une solution originale avec un toit en verre pivotant. Développé et breveté par l’ingénieur italien Leonardo Fioravanti, ce toit escamotable pivote à 180° sur lui-même. Se positionnant sur le couvercle du coffre et verrouillable manuellement, le toit propose en plus de sa cinématique originale une technologie innovante intégrée à son verre. Grâce à ses caractéristiques électrochromiques, on peut régler son opacité suivant cinq positions faisant varier la luminosité dans l’habitacle. Au niveau mécanique, la Superamerica reprend la base de la 575M Maranello, mais le moteur V12 adopte la configuration de la 612 Scaglietti. Avec une cylindrée de 5.748 cm3, il développe ainsi 540 ch. (25 ch. de plus que la 575M Maranello) et est accouplé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports. En option, le client peut également opter pour la boîte de vitesses séquentielle type F1 à six rapports.
Grâce à son moteur exceptionnel, la Superamrica est à sa sortie le cabriolet de série le plus rapide du monde. Le 0 à 100 km/h est réalisé en seulement 4,2 secondes et la vitesse de pointe est de 320 km/h. De son côté, l’habitacle est quant à lui repris à 100% de la 575M Maranello, tout comme la carrosserie hormis la partie arrière. Les arches spécifiques sont là pour accueillir le toit, et par conséquent le coffre est redessiné. Au niveau des options, le pack Handling GTC est disponible. Il comprend notamment les freins en carbone-céramique et la suspension raffermie. Produite de 2004 à 2005, la Superamerica sera construite en série limitée à seulement 559 exemplaires, lui donnant ainsi rapidement le statut de collector.
Avec la Supermarica, Ferrari va produire le cabriolet le plus rapide du monde, dont l’architecture est très originale. Avec son toit à l'architecture inédite et sa production en série limitée, elle va devenir un modèle à part dans l’histoire de la marque, et également un des plus recherché.
Alors que la 575M Maranello arrive en fin de carrière, Ferrari décide de proposer un dérivé cabriolet original à sa GT à moteur V12. Succédant dans la gamme à la 550 Barchetta, la nouvelle Superamerica propose une solution originale avec un toit en verre pivotant. Développé et breveté par l’ingénieur italien Leonardo Fioravanti, ce toit escamotable pivote à 180° sur lui-même. Se positionnant sur le couvercle du coffre et verrouillable manuellement, le toit propose en plus de sa cinématique originale une technologie innovante intégrée à son verre. Grâce à ses caractéristiques électrochromiques, on peut régler son opacité suivant cinq positions faisant varier la luminosité dans l’habitacle. Au niveau mécanique, la Superamerica reprend la base de la 575M Maranello, mais le moteur V12 adopte la configuration de la 612 Scaglietti. Avec une cylindrée de 5.748 cm3, il développe ainsi 540 ch. (25 ch. de plus que la 575M Maranello) et est accouplé à une boîte de vitesses manuelle à six rapports. En option, le client peut également opter pour la boîte de vitesses séquentielle type F1 à six rapports.
Grâce à son moteur exceptionnel, la Superamrica est à sa sortie le cabriolet de série le plus rapide du monde. Le 0 à 100 km/h est réalisé en seulement 4,2 secondes et la vitesse de pointe est de 320 km/h. De son côté, l’habitacle est quant à lui repris à 100% de la 575M Maranello, tout comme la carrosserie hormis la partie arrière. Les arches spécifiques sont là pour accueillir le toit, et par conséquent le coffre est redessiné. Au niveau des options, le pack Handling GTC est disponible. Il comprend notamment les freins en carbone-céramique et la suspension raffermie. Produite de 2004 à 2005, la Superamerica sera construite en série limitée à seulement 559 exemplaires, lui donnant ainsi rapidement le statut de collector.
Avec la Supermarica, Ferrari va produire le cabriolet le plus rapide du monde, dont l’architecture est très originale. Avec son toit à l'architecture inédite et sa production en série limitée, elle va devenir un modèle à part dans l’histoire de la marque, et également un des plus recherché.