Chaque nouvelle Ferrari est un réel évènement dans le monde automobile, mais lorsque la marque dévoile sa nouvelle supercar à moteur V12, c’est carrément de nouveaux standards qui sont définis dans l’univers des sportives. La présentation de l’Enzo a en effet était un réel un chamboulement dans le microcosme des supercars.
HISTOIRE |
Au nom du père
Premièrement le nom, Enzo. Cet hommage au créateur de la marque n’est pas un hasard puisque le nouveau modèle de la marque est censé être l’aboutissement ultime de la philosophie du constructeur au cheval cabré. Présentée au Salon de l’automobile de Paris 2002, l’Enzo étonne d’abord par son style étudié pour appuyer la voiture au sol, en utilisant des technologies directement issues de la Formule 1. Sortie des bureaux de style de Pininfarina, elle est l’œuvre du designer japonais Ken Okuyama (auteur également de la première Honda NSX).
Sous le capot, on retrouve un V12 en position centrale arrière qui développe la puissance de 660 ch., ce qui permet entre autre à l’Enzo d’atteindre les 100 km/h en seulement 3,2 s. et 363 km/h en vitesse de pointe, ce qui en fait une voiture exceptionnelle pour son époque. Cette mécanique de pointe est accouplée à une boite de vitesse séquentielle dérivée de la Formule 1, et le freinage est assuré par des freins à disques en carbone-céramique. Prévue initialement à 349 exemplaires, elle sera finalement produite à 399 exemplaires, plus un dernier exemplaire qui sera vendu aux enchères en faveur des œuvres caritatives. Le prix était alors de 675.000 € mais seuls les plus fidèles clients ont pu en faire l’acquisition.
L’Enzo fut en son temps une référence absolue et l’aboutissement des modèles Ferrari. Rapide, unique esthétiquement, et mise au point par un des meilleurs pilotes de l’histoire (Michael Schumacher), elle rentrera immédiatement dans l’histoire et sera un hommage réussi au fondateur de la marque.
Premièrement le nom, Enzo. Cet hommage au créateur de la marque n’est pas un hasard puisque le nouveau modèle de la marque est censé être l’aboutissement ultime de la philosophie du constructeur au cheval cabré. Présentée au Salon de l’automobile de Paris 2002, l’Enzo étonne d’abord par son style étudié pour appuyer la voiture au sol, en utilisant des technologies directement issues de la Formule 1. Sortie des bureaux de style de Pininfarina, elle est l’œuvre du designer japonais Ken Okuyama (auteur également de la première Honda NSX).
Sous le capot, on retrouve un V12 en position centrale arrière qui développe la puissance de 660 ch., ce qui permet entre autre à l’Enzo d’atteindre les 100 km/h en seulement 3,2 s. et 363 km/h en vitesse de pointe, ce qui en fait une voiture exceptionnelle pour son époque. Cette mécanique de pointe est accouplée à une boite de vitesse séquentielle dérivée de la Formule 1, et le freinage est assuré par des freins à disques en carbone-céramique. Prévue initialement à 349 exemplaires, elle sera finalement produite à 399 exemplaires, plus un dernier exemplaire qui sera vendu aux enchères en faveur des œuvres caritatives. Le prix était alors de 675.000 € mais seuls les plus fidèles clients ont pu en faire l’acquisition.
L’Enzo fut en son temps une référence absolue et l’aboutissement des modèles Ferrari. Rapide, unique esthétiquement, et mise au point par un des meilleurs pilotes de l’histoire (Michael Schumacher), elle rentrera immédiatement dans l’histoire et sera un hommage réussi au fondateur de la marque.