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Pour remplacer une 328 vieillissante, Ferrari développe un modèle plus puissant et au style proche de la grande sœur Testarossa. Cela amène à la présentation de la nouvelle 348 en 1989.
HISTOIRE |
Berlinette V8
Alors que le marché des sportives est en plein essor à la fin des années 1980, Ferrari réfléchit à remplacer sa 328 qui se fait vieillissante par un modèle plus moderne et performant. Première Ferrari entièrement conçue depuis le décès d’Enzo Ferrari, la nouvelle 348 est dévoilée au Salon de l’automobile de Francfort 1989. La ligne est signée Pininfarina et se rapproche de la Testarossa à moteur 12 cylindres. Le nom 348 provient de la cylindrée du moteur V8 (3.405 cm3) et du nombre de cylindres. Deux versions sont disponible au lancement, le coupé 348 TB (Transversale Berlinette) et le targa 348 TS (Transversale Spider). Placé en position longitudinale, le V8 développe 300 ch., offrant à la 348 des performances très intéressantes. Il est accouplé à une boite de vitesse manuelle à cinq rapports placée en position transversale. Mais quelques problèmes de mise au point seront découverts assez rapidement. Ainsi, en 1991 l’embrayage bi-disque est remplacé par un embrayage monodisque, alors que l’année suivante la suspension avant est revue et la batterie est installée dans le compartiment avant (meilleure répartition des masses).
En 1992, l’assise des sièges évolue. Pour le millésime 1993, la 348 Spider est présentée. Dotée d’une capote souple, elle est la troisième déclinaison de carrosserie disponible sur la 348. En cours d’année, la gamme évolue avec la présentation des 348 GTB et 348 GTS. Esthétiquement, elles adoptent des bas de caisse et un spoiler avant couleur carrosserie et une calandre doté du cheval cabré chromé. A l’intérieur le volant et les panneaux de portes évoluent, alors qu’au niveau mécanique le moteur V8 passe à 320 ch. Présentation au même moment de la 348 GT Competizione, version plus radicale destinée à l’homologation en compétition et produite à une cinquantaine d’exemplaires. En fin d’année 1994, la 348 sera déjà retirée du catalogue Ferrari pour laisser sa place à sa remplaçante, la nouvelle F355.
Malgré des problèmes de jeunesse et une mise au point accélérée, la 348 aura une carrière assez honorable avant d’être remplacée par un modèle à la philosophie proche mais bien plus abouti, la F355.
Alors que le marché des sportives est en plein essor à la fin des années 1980, Ferrari réfléchit à remplacer sa 328 qui se fait vieillissante par un modèle plus moderne et performant. Première Ferrari entièrement conçue depuis le décès d’Enzo Ferrari, la nouvelle 348 est dévoilée au Salon de l’automobile de Francfort 1989. La ligne est signée Pininfarina et se rapproche de la Testarossa à moteur 12 cylindres. Le nom 348 provient de la cylindrée du moteur V8 (3.405 cm3) et du nombre de cylindres. Deux versions sont disponible au lancement, le coupé 348 TB (Transversale Berlinette) et le targa 348 TS (Transversale Spider). Placé en position longitudinale, le V8 développe 300 ch., offrant à la 348 des performances très intéressantes. Il est accouplé à une boite de vitesse manuelle à cinq rapports placée en position transversale. Mais quelques problèmes de mise au point seront découverts assez rapidement. Ainsi, en 1991 l’embrayage bi-disque est remplacé par un embrayage monodisque, alors que l’année suivante la suspension avant est revue et la batterie est installée dans le compartiment avant (meilleure répartition des masses).
En 1992, l’assise des sièges évolue. Pour le millésime 1993, la 348 Spider est présentée. Dotée d’une capote souple, elle est la troisième déclinaison de carrosserie disponible sur la 348. En cours d’année, la gamme évolue avec la présentation des 348 GTB et 348 GTS. Esthétiquement, elles adoptent des bas de caisse et un spoiler avant couleur carrosserie et une calandre doté du cheval cabré chromé. A l’intérieur le volant et les panneaux de portes évoluent, alors qu’au niveau mécanique le moteur V8 passe à 320 ch. Présentation au même moment de la 348 GT Competizione, version plus radicale destinée à l’homologation en compétition et produite à une cinquantaine d’exemplaires. En fin d’année 1994, la 348 sera déjà retirée du catalogue Ferrari pour laisser sa place à sa remplaçante, la nouvelle F355.
Malgré des problèmes de jeunesse et une mise au point accélérée, la 348 aura une carrière assez honorable avant d’être remplacée par un modèle à la philosophie proche mais bien plus abouti, la F355.
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