Afin de remplacer la vieillissante HK500, Facel Vega dévoile en 1961 la nouvelle Facel II. Moderne et performante, elle devient le nouveau porte-étendard du constructeur français.
HISTOIRE |
Une réelle ambition
C’est au Salon de l’automobile de Paris en 1961 que Facel Vega lève le voile sur sa nouvelle GT, la Facel II. Remplaçant la vieillissante HK500, elle impressionne le public par son style moderne et imposant. A l’avant elle inaugure les phares Megalux développés par Marshall, alors que les montants très fins apportent beaucoup d’élégance à la ligne de la Facel II. Sous le capot, on retrouve le V8 d’origine Chrysler déjà vu sur la berline Excellence. Disponible avec une boite de vitesse manuelle (390 ch.) et une boite de vitesse automatique (325 ch.), elle peut alors atteindre 240 km/h en vitesse de pointe (pour la version 390 ch.). Ces chiffres impressionnant pour l’époque en font une des voitures les plus performantes du monde. Quatre freins à disques Dunlop permettent d’assurer un freinage efficace, la Facel II pesant tout de même 1.660 kg. L’intérieur n’est pas en reste, avec la présence de matériaux nobles (cuir, bois, chromes, …) et une finition de très haut niveau.
Exclusive et très performante, la Facel II est aussi très chère. Destinée exclusivement aux plus grandes fortunes mondiales, elle rencontrera un joli succès d’estime et de nombreuses vedettes de l’époque commanderont leur Facel II. La direction assistée et la climatisation sont des équipements proposés en option, et qui s’avèrent indispensable sur le marché américain. Ce dernier est très important pour la Facel II, où elle est distribuée par l’importateur Hoffman. Certains exemplaires recevront une évolution du V8 Chrysler portant la puissance à 400 ch. Produite jusqu’en 1964 à 184 exemplaires, elle disparaitra en même temps que le constructeur Facel Vega, contraint de mettre la clé sous la porte par manque de soutien financier.
Chère et élégante, la Facel Vega Facel II sera le symbole du haut de gamme à la française pendant quelques années. Ses performances et sa qualité de fabrication seront de réels atouts, mais le manque de soutien et un marché très restreint pour ce genre de véhicule auront raison de son succès.
C’est au Salon de l’automobile de Paris en 1961 que Facel Vega lève le voile sur sa nouvelle GT, la Facel II. Remplaçant la vieillissante HK500, elle impressionne le public par son style moderne et imposant. A l’avant elle inaugure les phares Megalux développés par Marshall, alors que les montants très fins apportent beaucoup d’élégance à la ligne de la Facel II. Sous le capot, on retrouve le V8 d’origine Chrysler déjà vu sur la berline Excellence. Disponible avec une boite de vitesse manuelle (390 ch.) et une boite de vitesse automatique (325 ch.), elle peut alors atteindre 240 km/h en vitesse de pointe (pour la version 390 ch.). Ces chiffres impressionnant pour l’époque en font une des voitures les plus performantes du monde. Quatre freins à disques Dunlop permettent d’assurer un freinage efficace, la Facel II pesant tout de même 1.660 kg. L’intérieur n’est pas en reste, avec la présence de matériaux nobles (cuir, bois, chromes, …) et une finition de très haut niveau.
Exclusive et très performante, la Facel II est aussi très chère. Destinée exclusivement aux plus grandes fortunes mondiales, elle rencontrera un joli succès d’estime et de nombreuses vedettes de l’époque commanderont leur Facel II. La direction assistée et la climatisation sont des équipements proposés en option, et qui s’avèrent indispensable sur le marché américain. Ce dernier est très important pour la Facel II, où elle est distribuée par l’importateur Hoffman. Certains exemplaires recevront une évolution du V8 Chrysler portant la puissance à 400 ch. Produite jusqu’en 1964 à 184 exemplaires, elle disparaitra en même temps que le constructeur Facel Vega, contraint de mettre la clé sous la porte par manque de soutien financier.
Chère et élégante, la Facel Vega Facel II sera le symbole du haut de gamme à la française pendant quelques années. Ses performances et sa qualité de fabrication seront de réels atouts, mais le manque de soutien et un marché très restreint pour ce genre de véhicule auront raison de son succès.