FICHE TECHNIQUE DU MODÈLE ESSAYÉ |
Modèle |
Fabia II 1.6 TDI Monte-Carlo |
Année |
2012 |
Couleur |
Rouge Corrida (référence 8151) |
Puissance |
75 ch. |
Puissance fiscale |
4 CV |
Kilométrage |
72.600 kms. |
Prix neuf |
N.C. |
Vendue entre 2007 et 2015, la deuxième génération de Fabia permit à Skoda de proposer une citadine de très bonne qualité (la base est celle de la Volkswagen Polo) tout en maintenant un prix attractif. La série Monte-Carlo célèbre les titres du constructeur tchèque en championnat IRC et fut produite de 2011 à 2014. Le modèle essayé est une édition 2012, dans la configuration de couleur rouge et noir.
Design
Le dessin de la deuxième génération Fabia est assez classique pour une citadine, mais l’ensemble des codes de la marque tchèque sont présentes (calandre, phares avant et feux arrière, ceinture de caisse) et présente un profil harmonieux. La version essayée est une édition Monte-Carlo, à la présentation plus flatteuse que la version classique. En effet, avec sa peinture bicolore rouge et noir, ses jantes 16’’ noires, son spoiler avant et son becquet arrière, la Fabia se veut plus dynamique et moins sérieuse que d’habitude. Cette présentation flatteuse est encore accentué avec les vitres surteintées et les quelques touches de chrome qui ornent la carrosserie.
Vie à bord
A l’intérieur, l’ensemble se veut assez austère, avec une présence en masse de plastiques noirs. Seule la sellerie spécifique à damiers rouge, le volant et le pommeau de levier de vitesse gainés de cuir rehausse un peu l’atmosphère. La planche de bord est bien finie, avec des assemblages soignés (origine Volkswagen oblige) mais la qualité de certains plastiques durs laisse à désirer. L’équipement est complet, avec l’autoradio, la climatisation, les antibrouillards, le régulateur de vitesse ou encore les rétroviseurs et les quatre vitres électriques. Il ne manque à l’appel que le Bluetooth (qui sera en série sur l’édition 2013).
Le conducteur est bien installé, avec un siège enveloppant très agréable et une position de conduite légèrement en hauteur du meilleur effet. L’ergonomie est bien pensée et l’ensemble des commandes tombent parfaitement sous la main. Les passagers ne sont pas en reste avec une habitabilité parmi les meilleures de la catégorie, et on est surpris par l’espace aux jambes et la garde au toit arrière. Ainsi, deux adultes, voire trois enfants peuvent voyager à l’arrière sans difficulté. Enfin, le volume du coffre est dans la bonne moyenne de la catégorie, et le large hayon permet un seuil de chargement assez bas, ce qui est très appréciable.
Sur la route
Au démarrage, la mécanique se montre discrète et aucune vibration ne se fait sentir. En ville, la Fabia est à l’aise, avec un encombrement réduit. Cependant, avec des roues de 16’’, le confort est dégradé et le rayon de braquage en pâtit. Ajouté à cela un amortissement réglé assez ferme, vous obtenez une citadine au confort raide, ce qui est désagréable sur chaussée dégradée. Enfin, la garde au sol basse à l’avant (présence du spoiler oblige) et un manque de protection de la carrosserie rendent la Fabia très exposée aux aléas des centres villes.
Sur route, le comportement est efficace, avec une direction bien calibrée et la tenue de route est d’un très bon niveau (accentué par les pneus larges). Le confort reste ferme mais c’est bien plus agréable qu’en ville, alors que la mécanique se fait discrète. On regrette quand même le manque de puissance du moteur, car avec seulement 75 ch. on peut trouver assez facilement les limites, surtout si on est chargé. Par exemple, il sera obligatoire de rétrograder pour dépasser car les reprises sont vraiment trop justes. L’autoroute ne lui fait pas peur et elle se montre même plutôt à l’aise. La mécanique reste discrète, et la tenue de cap reste sans faille, mais quelques bruits d’air se font entendre passer les 110 km/h. Enfin, au niveau consommation elle reste très sobre en toute circonstance et il n’est pas difficile de passer sous la barre des 5 l. au 100 km.
Le dessin de la deuxième génération Fabia est assez classique pour une citadine, mais l’ensemble des codes de la marque tchèque sont présentes (calandre, phares avant et feux arrière, ceinture de caisse) et présente un profil harmonieux. La version essayée est une édition Monte-Carlo, à la présentation plus flatteuse que la version classique. En effet, avec sa peinture bicolore rouge et noir, ses jantes 16’’ noires, son spoiler avant et son becquet arrière, la Fabia se veut plus dynamique et moins sérieuse que d’habitude. Cette présentation flatteuse est encore accentué avec les vitres surteintées et les quelques touches de chrome qui ornent la carrosserie.
Vie à bord
A l’intérieur, l’ensemble se veut assez austère, avec une présence en masse de plastiques noirs. Seule la sellerie spécifique à damiers rouge, le volant et le pommeau de levier de vitesse gainés de cuir rehausse un peu l’atmosphère. La planche de bord est bien finie, avec des assemblages soignés (origine Volkswagen oblige) mais la qualité de certains plastiques durs laisse à désirer. L’équipement est complet, avec l’autoradio, la climatisation, les antibrouillards, le régulateur de vitesse ou encore les rétroviseurs et les quatre vitres électriques. Il ne manque à l’appel que le Bluetooth (qui sera en série sur l’édition 2013).
Le conducteur est bien installé, avec un siège enveloppant très agréable et une position de conduite légèrement en hauteur du meilleur effet. L’ergonomie est bien pensée et l’ensemble des commandes tombent parfaitement sous la main. Les passagers ne sont pas en reste avec une habitabilité parmi les meilleures de la catégorie, et on est surpris par l’espace aux jambes et la garde au toit arrière. Ainsi, deux adultes, voire trois enfants peuvent voyager à l’arrière sans difficulté. Enfin, le volume du coffre est dans la bonne moyenne de la catégorie, et le large hayon permet un seuil de chargement assez bas, ce qui est très appréciable.
Sur la route
Au démarrage, la mécanique se montre discrète et aucune vibration ne se fait sentir. En ville, la Fabia est à l’aise, avec un encombrement réduit. Cependant, avec des roues de 16’’, le confort est dégradé et le rayon de braquage en pâtit. Ajouté à cela un amortissement réglé assez ferme, vous obtenez une citadine au confort raide, ce qui est désagréable sur chaussée dégradée. Enfin, la garde au sol basse à l’avant (présence du spoiler oblige) et un manque de protection de la carrosserie rendent la Fabia très exposée aux aléas des centres villes.
Sur route, le comportement est efficace, avec une direction bien calibrée et la tenue de route est d’un très bon niveau (accentué par les pneus larges). Le confort reste ferme mais c’est bien plus agréable qu’en ville, alors que la mécanique se fait discrète. On regrette quand même le manque de puissance du moteur, car avec seulement 75 ch. on peut trouver assez facilement les limites, surtout si on est chargé. Par exemple, il sera obligatoire de rétrograder pour dépasser car les reprises sont vraiment trop justes. L’autoroute ne lui fait pas peur et elle se montre même plutôt à l’aise. La mécanique reste discrète, et la tenue de cap reste sans faille, mais quelques bruits d’air se font entendre passer les 110 km/h. Enfin, au niveau consommation elle reste très sobre en toute circonstance et il n’est pas difficile de passer sous la barre des 5 l. au 100 km.
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CONCLUSION |
La deuxième génération de Fabia est une excellente citadine, car elle reprend l'ensemble de la partie mécanique de la Volkswagen Polo (une des référence de la catégorie) en y mêlant un design moderne et des tarifs attractifs. De plus dans cette finition Monte-Carlo, la présentation se veut plus flatteuse avec des détails esthétiques qui valorisent la voiture. Le seul bémol sera du côté de la puissance du moteur trop limité, ce qui est d'autant plus dommage que les qualités routières de la Fabia sont réelles.
Galerie du modèle essayé