FICHE TECHNIQUE DU MODÈLE ESSAYÉ |
Modèle |
Twingo III 0.9 TCe Limited |
Année |
2016 |
Couleur |
Rouge Flamme (référence NNP) |
Puissance |
90 ch. |
Puissance fiscale |
4 CV |
Kilométrage |
4.000 kms. |
Prix neuf |
14.000 € |
2014 voit l’apparition de la troisième génération de Twingo. La micro-citadine de Renault se renouvelle en révolutionnant son architecture, car pour la première fois la Twingo est doté de 5 portes et surtout le moteur est positionné à l’arrière. Concernant ces derniers, on retrouve d’inédits 3 cylindres dont une version turbocompressée forte de 90 ch.
Design
La Twingo troisième du nom n’a plus rien à voir avec ses prédécesseurs. Doté de 5 portes, on retrouve un capot court (moteur arrière oblige) et un arrière tendu. Les ailes arrières offrent un décroché s’inspirant de sa lointaine aïeule la R5 Turbo alors que le hayon en verre dénote et rappelle ses concurrentes Citroën C1, Peugeot 108 et Toyota Aygo. La finition Limited se distingue par ses touches de blanc sur la carrosserie (coque de rétroviseurs, baguettes latérales) et des bandes décoratives latérales. La couleur Rouge Flamme disponible au lancement va bien à la Twingo et met bien sa ligne en valeur.
Vie à bord
Les quatre portes facilitent l’accès à bord par rapport aux générations précédentes. À l’avant, la position de conduite est plutôt haute mais les sièges raides n’offrent pas le meilleur des conforts. Le combiné d’instrumentation digital est clair mais manque cruellement d’informations, car seul la vitesse, le kilométrage et le niveau de carburant sont indiqués. La planche de bord avec des touches de blanc (comme sur la carrosserie) est plutôt bien finie mais la qualité des plastiques durs laisse à désirer. C’est également le cas pour les contre-portes, dont les plastiques sont facilement rayables. Notons la présence d’un support de téléphone sur la console centrale, ce qui est assez pratique. Côté équipements, on retrouve la climatisation manuelle, les vitres électriques et la radio. À noter que cette dernière n’est pas doté de lecteur CD, mais d’une prise USB et Jack.
À l’arrière, l’habitabilité est correcte, mais la banquette (très raide) n’offre que deux places et l’assise trop courte ne contribue pas au confort des occupants. De plus, la faible surface vitrée et les vitres entrebâillantes contribuent à l’impression de confinement. Le coffre n’est pas mieux lotie avec un seuil de chargement haut et un volume assez décevant, car le moteur installé en dessous prend pas mal de place. D’ailleurs, l’accessibilité mécanique est quasi nulle et il est presque impossible de voir le moteur. L’entretien courant se fait sous le capot avant qui coulisse.
Sur la route
Au démarrage, la mécanique se fait discrète mais dès les premiers tours de roue, on remarque quelque chose de désagréable. Le moteur se montre creux en bas régime et ne se réveille réellement que lorsque le turbo s’enclenche, c’est assez gênant en ville. Cependant, la commande de boite est franche et la maniabilité remarquable, avec un rayon de braquage record (grâce à l’absence de mécanique à l’avant) ce qui confirme que la Twingo est vraiment taillé pour la ville. L’encombrement contenu permet de se faufiler et de se garer partout. On peut seulement regretter la faible surface vitrée qui gêne lors des manœuvres.
Lorsqu’on sort des centres villes, la Twingo n’est pas en reste avec un moteur alerte offrant de bonnes reprises. La tenue de route est correcte et l’ESP et l’antipatinage veillent au grain pour la sécurité du conducteur. Cependant, le confort raide des suspensions et des sièges rend les longs trajets fatiguant, et l’insonorisation décevante n’améliore pas l’ensemble. Sur autoroute, la boite longue permet de conserver des consommations contenues, mais la sensibilité au vent latéral rend la tenue de cap assez flou. Enfin, sur autoroute les bruits dans l’habitacle deviennent vite envahissant, ce qui est assez moyen pour une citadine de cette génération.
La Twingo troisième du nom n’a plus rien à voir avec ses prédécesseurs. Doté de 5 portes, on retrouve un capot court (moteur arrière oblige) et un arrière tendu. Les ailes arrières offrent un décroché s’inspirant de sa lointaine aïeule la R5 Turbo alors que le hayon en verre dénote et rappelle ses concurrentes Citroën C1, Peugeot 108 et Toyota Aygo. La finition Limited se distingue par ses touches de blanc sur la carrosserie (coque de rétroviseurs, baguettes latérales) et des bandes décoratives latérales. La couleur Rouge Flamme disponible au lancement va bien à la Twingo et met bien sa ligne en valeur.
Vie à bord
Les quatre portes facilitent l’accès à bord par rapport aux générations précédentes. À l’avant, la position de conduite est plutôt haute mais les sièges raides n’offrent pas le meilleur des conforts. Le combiné d’instrumentation digital est clair mais manque cruellement d’informations, car seul la vitesse, le kilométrage et le niveau de carburant sont indiqués. La planche de bord avec des touches de blanc (comme sur la carrosserie) est plutôt bien finie mais la qualité des plastiques durs laisse à désirer. C’est également le cas pour les contre-portes, dont les plastiques sont facilement rayables. Notons la présence d’un support de téléphone sur la console centrale, ce qui est assez pratique. Côté équipements, on retrouve la climatisation manuelle, les vitres électriques et la radio. À noter que cette dernière n’est pas doté de lecteur CD, mais d’une prise USB et Jack.
À l’arrière, l’habitabilité est correcte, mais la banquette (très raide) n’offre que deux places et l’assise trop courte ne contribue pas au confort des occupants. De plus, la faible surface vitrée et les vitres entrebâillantes contribuent à l’impression de confinement. Le coffre n’est pas mieux lotie avec un seuil de chargement haut et un volume assez décevant, car le moteur installé en dessous prend pas mal de place. D’ailleurs, l’accessibilité mécanique est quasi nulle et il est presque impossible de voir le moteur. L’entretien courant se fait sous le capot avant qui coulisse.
Sur la route
Au démarrage, la mécanique se fait discrète mais dès les premiers tours de roue, on remarque quelque chose de désagréable. Le moteur se montre creux en bas régime et ne se réveille réellement que lorsque le turbo s’enclenche, c’est assez gênant en ville. Cependant, la commande de boite est franche et la maniabilité remarquable, avec un rayon de braquage record (grâce à l’absence de mécanique à l’avant) ce qui confirme que la Twingo est vraiment taillé pour la ville. L’encombrement contenu permet de se faufiler et de se garer partout. On peut seulement regretter la faible surface vitrée qui gêne lors des manœuvres.
Lorsqu’on sort des centres villes, la Twingo n’est pas en reste avec un moteur alerte offrant de bonnes reprises. La tenue de route est correcte et l’ESP et l’antipatinage veillent au grain pour la sécurité du conducteur. Cependant, le confort raide des suspensions et des sièges rend les longs trajets fatiguant, et l’insonorisation décevante n’améliore pas l’ensemble. Sur autoroute, la boite longue permet de conserver des consommations contenues, mais la sensibilité au vent latéral rend la tenue de cap assez flou. Enfin, sur autoroute les bruits dans l’habitacle deviennent vite envahissant, ce qui est assez moyen pour une citadine de cette génération.
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CONCLUSION |
La Twingo de troisième génération n'est pas une mauvaise voiture, mais l'esprit de la première Twingo est bien loin. Avec une modularité inexistante et un espace intérieur réduit, elle devient une citadine assez banale. Mais sa maniabilité hors pair et son moteur tonique la rende agréable à mener.
Galerie du modèle essayé