FICHE TECHNIQUE DU MODÈLE ESSAYÉ |
Modèle |
208 I 1.6 e-HDI Business Pack |
Année |
2014 |
Couleur |
Gris Aluminium métallisé (référence EZR) |
Puissance |
92 ch. |
Puissance fiscale |
4 CV |
Kilométrage |
133.800 kms. |
Prix neuf |
20.550 € |
Présentée en 2012, la 208 est une citadine moderne qui a pour ambition de détrôner sa rivale de toujours, la Renault Clio. Cette version Business Pack est dotée du moteur le plus populaire sur ce modèle, le 1.6 l. e-HDI de 92 ch.
Design
La 208 se distingue assez nettement de sa devancière la 207, par son gabarit et son style. Plus petite et plus légère, la 208 offre un dessin équilibré et dynamique qui s’intègre parfaitement dans la gamme Peugeot de l’époque. Lancée en 2012, la version essayée aujourd’hui fut produite en 2014 en finition Business Pack. Les antibrouillards avant sont de série, mais on fait l’impasse sur les jantes en aluminium. Un imposant béquet arrière favorisant l’aérodynamisme est présent sur cette version e-HDI de 92 ch. La 208 est une belle citadine, mais on regrettera une carrosserie très exposée en ville, à cause de l’absence de protections de carrosserie.
Vie à bord
L’intérieur de la 208 aura surpris plus d’un observateur lors de sa présentation. Avec des compteurs déportés et un volant de petite taille, le poste de conduite se veut innovant. La planche de bord est moderne, avec la présence d’un écran tactile permettant de commander la radio et les options du véhicules. Sur d’autres versions il est possible de commander la navigation, mais elle n’est pas présente sur cette finition. L’harmonie intégralement noire ne met pas forcément en valeur la planche de bord, qui s’avère de bonne qualité dans sa partie supérieure. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de la partie basse, qui fait appel à des matériaux de qualité médiocre.
La finition Business Pack est une petite finition de milieu de gamme, on retrouve donc une climatisation manuelle, les commandes au volant ou encore les rétroviseurs électriques, mais on regrettera l’absence de vitres arrière électrique, d’un volant cuir ou de la climatisation automatique. A l’avant on est bien installé, avec des sièges bien dessiné et enveloppants, et la prise en main du volant de petite taille est facile. Petit bémol, suivant les réglages le volant peut cacher les compteurs au conducteur. L’arrière est très habitable, avec un bel espace pour les jambes. Le coffre fait également partie des points forts de la 208, avec un volume conséquent si on le ramène au gabarit de la voiture.
Sur la route
Au démarrage, le moteur diesel s’avère très discret. En ville, la 208 évolue très facilement, avec un bon rayon de braquage et une direction douce et précise. La visibilité est bonne, mais on lui reprochera l’absence de radar de recul lors des stationnements. La commande de boite de vitesse est correcte, même si on aimerait qu’elle soit un peu plus précise. Au final, le réel défaut de la 208 en ville est son amortissement ferme à basse vitesse, compensé en partie par le confort des sièges. Au-delà d’être une citadine, la 208 présente de réelles qualités routières, notamment avec ce 1.6 l. e-HDI de 92 ch. Volontaire et coupleux, il permet à la 208 d’évoluer sur routes sans difficultés particulières. Si le conducteur souhaite avoir de meilleures reprises il peut désactiver le mode Eco, ce qui libère toutes les capacités du moteur. Le châssis n’est pas en reste, avec un amortissement qui absorbe bien toutes les aspérités de la route, et un train avant précis. Enfin, sur autoroute la 208 avale les kilomètres sans soucis, même si l’absence d’une boite de vitesse à six rapports nuit au confort des passagers. En effet, le moteur diesel se fait entendre, et peut devenir gênant à la longue. Les consommations restent très basses quelques soit les conditions, la 208 diesel faisant preuve d’une belle sobriété.
La 208 se distingue assez nettement de sa devancière la 207, par son gabarit et son style. Plus petite et plus légère, la 208 offre un dessin équilibré et dynamique qui s’intègre parfaitement dans la gamme Peugeot de l’époque. Lancée en 2012, la version essayée aujourd’hui fut produite en 2014 en finition Business Pack. Les antibrouillards avant sont de série, mais on fait l’impasse sur les jantes en aluminium. Un imposant béquet arrière favorisant l’aérodynamisme est présent sur cette version e-HDI de 92 ch. La 208 est une belle citadine, mais on regrettera une carrosserie très exposée en ville, à cause de l’absence de protections de carrosserie.
Vie à bord
L’intérieur de la 208 aura surpris plus d’un observateur lors de sa présentation. Avec des compteurs déportés et un volant de petite taille, le poste de conduite se veut innovant. La planche de bord est moderne, avec la présence d’un écran tactile permettant de commander la radio et les options du véhicules. Sur d’autres versions il est possible de commander la navigation, mais elle n’est pas présente sur cette finition. L’harmonie intégralement noire ne met pas forcément en valeur la planche de bord, qui s’avère de bonne qualité dans sa partie supérieure. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant de la partie basse, qui fait appel à des matériaux de qualité médiocre.
La finition Business Pack est une petite finition de milieu de gamme, on retrouve donc une climatisation manuelle, les commandes au volant ou encore les rétroviseurs électriques, mais on regrettera l’absence de vitres arrière électrique, d’un volant cuir ou de la climatisation automatique. A l’avant on est bien installé, avec des sièges bien dessiné et enveloppants, et la prise en main du volant de petite taille est facile. Petit bémol, suivant les réglages le volant peut cacher les compteurs au conducteur. L’arrière est très habitable, avec un bel espace pour les jambes. Le coffre fait également partie des points forts de la 208, avec un volume conséquent si on le ramène au gabarit de la voiture.
Sur la route
Au démarrage, le moteur diesel s’avère très discret. En ville, la 208 évolue très facilement, avec un bon rayon de braquage et une direction douce et précise. La visibilité est bonne, mais on lui reprochera l’absence de radar de recul lors des stationnements. La commande de boite de vitesse est correcte, même si on aimerait qu’elle soit un peu plus précise. Au final, le réel défaut de la 208 en ville est son amortissement ferme à basse vitesse, compensé en partie par le confort des sièges. Au-delà d’être une citadine, la 208 présente de réelles qualités routières, notamment avec ce 1.6 l. e-HDI de 92 ch. Volontaire et coupleux, il permet à la 208 d’évoluer sur routes sans difficultés particulières. Si le conducteur souhaite avoir de meilleures reprises il peut désactiver le mode Eco, ce qui libère toutes les capacités du moteur. Le châssis n’est pas en reste, avec un amortissement qui absorbe bien toutes les aspérités de la route, et un train avant précis. Enfin, sur autoroute la 208 avale les kilomètres sans soucis, même si l’absence d’une boite de vitesse à six rapports nuit au confort des passagers. En effet, le moteur diesel se fait entendre, et peut devenir gênant à la longue. Les consommations restent très basses quelques soit les conditions, la 208 diesel faisant preuve d’une belle sobriété.
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CONCLUSION |
Bien dessinée et bien conçue, la 208 sera un vrai succès pour Peugeot. A la fois confortable et précise sur route, elle se montre parfaitement polyvalente. On regrettera tout de même quelques lacunes d’équipements, au vu du prix de vente et un certain inconfort en ville en raison d’un amortissement ferme.
Galerie du modèle essayé