FICHE TECHNIQUE DU MODÈLE ESSAYÉ |
Modèle |
Saxo 1.5D BIC |
Année |
2003 |
Couleur |
Gris Iceland métallisé (référence EYL) |
Puissance |
58 ch. |
Puissance fiscale |
5 CV |
Kilométrage |
138.000 kms. |
Prix neuf |
N.C. |
A partir du restylage de 2000, la version BIC n'est plus considérée comme une série limitée mais intègre désormais la gamme normale comme une finition à part entière. La gamme de coloris est élargie alors que les spécificités de la version BIC (sellerie, logos, ...) sont conservées.
Design
Les Saxo après 2000 ont subit un restylage qui modernise la ligne et permet de mieux la distinguer de sa cousine la Peugeot 106. La face avant reçoit des phares en amande et un nouveau bouclier, alors que l'arrière reçoit des feux éclaircis. . Sur cette version BIC, notons la présence de logos sur les baguettes de protection latérales à l'avant et sur les custodes arrière. Hormis ces détails, rien ne distingue cette Saxo des autres versions de la gamme. Les roues sont du 13'', ce qui largement suffisant pour faire passer la puissance du petit moteur diesel qui loge sous le capot. A noter que cet exemplaire est paré de la peinture métallisé Gris Iceland qui donne un style un peu plus classe à la frêle Saxo. Enfin, on remarque la faible largeur des pneumatiques (165/70 R 13) qui rappelle sa fonction économique.
Vie à bord
A l'intérieur, tous les éléments propres à la série BIC sont bien présents. Ainsi, on retrouve les cinq ceintures de sécurité de couleur différentes, la sellerie Tetoubo, les passepoils, les loquets de verrouillage et le pommeau de levier de vitesse bleu (et non jaune comme sur d'autres exemplaires) et les fonds de compteurs bleu. L'équipement de série comprend la direction assistée, les vitres avant électriques, l'airbag conducteur et le verrouillage centralisé. A noter qu'on pouvait opter en option de l'airbag passager, mais celui-ci condamne alors la boite à gant. Cela rappelle alors la conception ancienne de la Saxo, à l'époque où les airbags n'étaient pas encore généralisés. Cela fait quant même tache en 2003, où la plupart des citadines de l'époque sont dotées en série de 2 voire 4 airbags.
L'habitabilité est suffisante au vue du gabarit de l'auto, tout comme le volume du coffre qui étaient dans la moyenne haute de la catégorie à son époque. Il est donc aisé de rentrer quatre adultes dans cette voiture n'excédant pas 3,74 m. de long. Du côté de la finition, les plastiques sont durs et de qualité très moyenne (ils rayent facilement) d'autant que les assemblages sont inégaux et laissent apparaitre des rossignols avec le temps. La sellerie quant à elle vieillit bien mieux, et traverse le temps sans trop d'encombre. La modularité est classique, avec une banquette arrière monobloc rabattable. Les rangements sont bien présents, avec des bacs de portes assez profond, même si on peut reprocher une boite à gant manquant de volume.
Sur la route
Lors du démarrage, le moteur diesel 1.5 l. s'élance et on l'entend. En effet, l'insonorisation est d'un autre âge et les vibrations se font sentir. De plus, la commande de boite est molle et peu précise ce qui fait qu'elle n'est pas très agréable à manier. En ville, la mécanique se montre souple et relance en sous-régime sans problème. Quelques bruits de mobilier se font entendre, en partie du aux vibrations et à la finition légère de l'auto. La visibilité est bonne, et le faible gabarit de l'auto permet de se faufiler et de se garer n'importe où. La position de conduite est un peu haute, mais convient à la plupart des personnes.
Sur route, c'est là que l'affaire se gâte. Malgré la relative légèreté de la caisse et le volontarisme du moteur, les performances sont quand même limitées. De plus, le niveau sonore devient vite insupportable. Le châssis est quant à lui très sain, avec une très bonne tenue de route (malgré la faible dimension des pneumatiques) et le confort de suspension est de très bon niveau. Sur autoroute, même chose avec un volume sonore encore dégradé. Ainsi, à 130 km/h on n'est pas loin des 3.500 tr/min ce qui ne favorise pas le silence dans l'habitacle. Mais le point positif de cette version diesel, c'est sa consommation. Ainsi, que se soit en agglomération où sur route, la Saxo reste très sobre et dépasse rarement les 5 l. de diesel au 100 km., ce qui en fait une des citadines les plus économiques.
Les Saxo après 2000 ont subit un restylage qui modernise la ligne et permet de mieux la distinguer de sa cousine la Peugeot 106. La face avant reçoit des phares en amande et un nouveau bouclier, alors que l'arrière reçoit des feux éclaircis. . Sur cette version BIC, notons la présence de logos sur les baguettes de protection latérales à l'avant et sur les custodes arrière. Hormis ces détails, rien ne distingue cette Saxo des autres versions de la gamme. Les roues sont du 13'', ce qui largement suffisant pour faire passer la puissance du petit moteur diesel qui loge sous le capot. A noter que cet exemplaire est paré de la peinture métallisé Gris Iceland qui donne un style un peu plus classe à la frêle Saxo. Enfin, on remarque la faible largeur des pneumatiques (165/70 R 13) qui rappelle sa fonction économique.
Vie à bord
A l'intérieur, tous les éléments propres à la série BIC sont bien présents. Ainsi, on retrouve les cinq ceintures de sécurité de couleur différentes, la sellerie Tetoubo, les passepoils, les loquets de verrouillage et le pommeau de levier de vitesse bleu (et non jaune comme sur d'autres exemplaires) et les fonds de compteurs bleu. L'équipement de série comprend la direction assistée, les vitres avant électriques, l'airbag conducteur et le verrouillage centralisé. A noter qu'on pouvait opter en option de l'airbag passager, mais celui-ci condamne alors la boite à gant. Cela rappelle alors la conception ancienne de la Saxo, à l'époque où les airbags n'étaient pas encore généralisés. Cela fait quant même tache en 2003, où la plupart des citadines de l'époque sont dotées en série de 2 voire 4 airbags.
L'habitabilité est suffisante au vue du gabarit de l'auto, tout comme le volume du coffre qui étaient dans la moyenne haute de la catégorie à son époque. Il est donc aisé de rentrer quatre adultes dans cette voiture n'excédant pas 3,74 m. de long. Du côté de la finition, les plastiques sont durs et de qualité très moyenne (ils rayent facilement) d'autant que les assemblages sont inégaux et laissent apparaitre des rossignols avec le temps. La sellerie quant à elle vieillit bien mieux, et traverse le temps sans trop d'encombre. La modularité est classique, avec une banquette arrière monobloc rabattable. Les rangements sont bien présents, avec des bacs de portes assez profond, même si on peut reprocher une boite à gant manquant de volume.
Sur la route
Lors du démarrage, le moteur diesel 1.5 l. s'élance et on l'entend. En effet, l'insonorisation est d'un autre âge et les vibrations se font sentir. De plus, la commande de boite est molle et peu précise ce qui fait qu'elle n'est pas très agréable à manier. En ville, la mécanique se montre souple et relance en sous-régime sans problème. Quelques bruits de mobilier se font entendre, en partie du aux vibrations et à la finition légère de l'auto. La visibilité est bonne, et le faible gabarit de l'auto permet de se faufiler et de se garer n'importe où. La position de conduite est un peu haute, mais convient à la plupart des personnes.
Sur route, c'est là que l'affaire se gâte. Malgré la relative légèreté de la caisse et le volontarisme du moteur, les performances sont quand même limitées. De plus, le niveau sonore devient vite insupportable. Le châssis est quant à lui très sain, avec une très bonne tenue de route (malgré la faible dimension des pneumatiques) et le confort de suspension est de très bon niveau. Sur autoroute, même chose avec un volume sonore encore dégradé. Ainsi, à 130 km/h on n'est pas loin des 3.500 tr/min ce qui ne favorise pas le silence dans l'habitacle. Mais le point positif de cette version diesel, c'est sa consommation. Ainsi, que se soit en agglomération où sur route, la Saxo reste très sobre et dépasse rarement les 5 l. de diesel au 100 km., ce qui en fait une des citadines les plus économiques.
|
|
|
CONCLUSION |
La Saxo avec son moteur diesel est une citadine très économique à l'usage. Dans cette finition BIC la présentation est plus agréable que les Saxo classiques, mais les performances très limitées, l'insonorisation inexistante et un manque de sécurité assez prononcé limitent son utilisation à la ville uniquement.
Galerie du modèle essayé