FICHE TECHNIQUE DU MODÈLE ESSAYÉ |
Modèle |
C2 1.4 HDI Exclusive |
Année |
2005 |
Couleur |
Bleu Grand Pavois (référence KMH) |
Puissance |
70 ch. |
Puissance fiscale |
4 CV |
Kilométrage |
156.400 kms. |
Prix neuf |
16.200 € |
Version 3 portes de la C3, la C2 se distingue par sa carrosserie spécifique et sa taille plus compacte. Lancé en 2003 et remplaçant la Saxo, le changement est radical avec une base technique plus moderne et de nouveaux moteurs, dont le moderne 1.4 l. HDI fort de 70 ch. essayé aujourd’hui.
Design
Esthétiquement, la C2 n’a rien à voir avec sa sœur la C3. Le style est moins rondouillard, plus affirmé et dynamique. Les proportions sont d’ailleurs assez inhabituelles, car la voiture est haute et large mais la longueur reste très contenue (à peine 3,66 m.). Quelques originalités sont présentes, comme le décrochage des vitres arrière par rapport aux vitres avant, ou encore le hayon en deux parties (pas forcément des plus pratique au quotidien). La finition Exclusive est richement dotée et ça se voit, avec des jantes en aluminium de 15’’, les antibrouillards avant et les coques de rétroviseurs et les baguettes latérales peintes couleur carrosserie. On va quand même regretter que les pare-chocs (assez proéminents) soient aussi exposés, surtout sur une voiture à destination principalement urbaine.
Vie à bord
A l’intérieur pas de surprise, l’ensemble est repris de la C3 (tableau de bord, sièges). La planche de bord est plutôt bien finie, mais on notera quand même que la qualité de certains plastiques laissent à désirer. L’ergonomie est bonne et tout tombe sous la main. Le combiné d’instrumentation digital est très lisible, mais l’absence de zone rouge sur le compte-tours (gradué jusqu’à 7.000 tr/min !) étonne. L’ensemble est habillé de plastique noir, mais la sellerie en velours bleu et les quelques éléments en plastiques bleu translucide (pommeau de levier de vitesse, poignées de maintien) viennent égayer l’ensemble.
L’équipement est très complet (climatisation automatique, régulateur de vitesse, ordinateur de bord, …) et rien ne manque à l’appel. La position de conduite en hauteur est plutôt agréable et l’espace à l’avant permet de voyager à l’aise. Par contre à l’arrière l’espace est bien plus compté. La banquette coulissante permet d’atténuer cela, mais au détriment du volume du coffre (qui n’est pas bien grand à la base). D’ailleurs son accessibilité n’est pas des plus aisées, avec sa double ouverture et son seuil de chargement très haut. Enfin, on regrettera quand même l’absence de vitres entrebaillantes à l'arrière qui peuvent être utiles, notamment en été.
Sur la route
Au démarrage, le petit moteur HDI se fait entendre mais se fait plus discret dès qu’il est à température. En ville, la C2 est clairement à son aise avec son encombrement réduit et sa visibilité très correcte. On regrettera seulement la faible taille des rétroviseurs extérieurs, ce qui peut s'avérer gênant. Le moteur répond bien (grâce à un bon étagement de boite) mais on est quand même étonné de la fermeté des suspensions sur certaines bosses à basse vitesses. Heureusement, cela disparait rapidement dès que la vitesse augmente. Sur route, la C2 se comporte bien avec une direction agréable et une tenue de route très correcte. Cependant, le moteur atteint vite ses limites et il ne faudra pas hésiter de jouer du levier de vitesse pour conserver des reprises correctes.
Sur autoroute, deux gros défauts apparaissent. La sensibilité au vent latéral est très marquée et le niveau sonore se fait bien plus important. Ces désagréments rappellent que la C2 est avant tout destinée à la ville et que les longs trajets ne sont pas sa qualité première. Cependant, elle reste une citadine assez homogène et on peut entreprendre des longs trajets en toute sécurité et sans trop d’arrière-pensées. Pour finir, la consommation est très faible et il n’est pas difficile de réaliser des moyennes de 4,0 l. au 100 km., ce qui en fait une des citadines les plus économiques disponible sur le marché.
Esthétiquement, la C2 n’a rien à voir avec sa sœur la C3. Le style est moins rondouillard, plus affirmé et dynamique. Les proportions sont d’ailleurs assez inhabituelles, car la voiture est haute et large mais la longueur reste très contenue (à peine 3,66 m.). Quelques originalités sont présentes, comme le décrochage des vitres arrière par rapport aux vitres avant, ou encore le hayon en deux parties (pas forcément des plus pratique au quotidien). La finition Exclusive est richement dotée et ça se voit, avec des jantes en aluminium de 15’’, les antibrouillards avant et les coques de rétroviseurs et les baguettes latérales peintes couleur carrosserie. On va quand même regretter que les pare-chocs (assez proéminents) soient aussi exposés, surtout sur une voiture à destination principalement urbaine.
Vie à bord
A l’intérieur pas de surprise, l’ensemble est repris de la C3 (tableau de bord, sièges). La planche de bord est plutôt bien finie, mais on notera quand même que la qualité de certains plastiques laissent à désirer. L’ergonomie est bonne et tout tombe sous la main. Le combiné d’instrumentation digital est très lisible, mais l’absence de zone rouge sur le compte-tours (gradué jusqu’à 7.000 tr/min !) étonne. L’ensemble est habillé de plastique noir, mais la sellerie en velours bleu et les quelques éléments en plastiques bleu translucide (pommeau de levier de vitesse, poignées de maintien) viennent égayer l’ensemble.
L’équipement est très complet (climatisation automatique, régulateur de vitesse, ordinateur de bord, …) et rien ne manque à l’appel. La position de conduite en hauteur est plutôt agréable et l’espace à l’avant permet de voyager à l’aise. Par contre à l’arrière l’espace est bien plus compté. La banquette coulissante permet d’atténuer cela, mais au détriment du volume du coffre (qui n’est pas bien grand à la base). D’ailleurs son accessibilité n’est pas des plus aisées, avec sa double ouverture et son seuil de chargement très haut. Enfin, on regrettera quand même l’absence de vitres entrebaillantes à l'arrière qui peuvent être utiles, notamment en été.
Sur la route
Au démarrage, le petit moteur HDI se fait entendre mais se fait plus discret dès qu’il est à température. En ville, la C2 est clairement à son aise avec son encombrement réduit et sa visibilité très correcte. On regrettera seulement la faible taille des rétroviseurs extérieurs, ce qui peut s'avérer gênant. Le moteur répond bien (grâce à un bon étagement de boite) mais on est quand même étonné de la fermeté des suspensions sur certaines bosses à basse vitesses. Heureusement, cela disparait rapidement dès que la vitesse augmente. Sur route, la C2 se comporte bien avec une direction agréable et une tenue de route très correcte. Cependant, le moteur atteint vite ses limites et il ne faudra pas hésiter de jouer du levier de vitesse pour conserver des reprises correctes.
Sur autoroute, deux gros défauts apparaissent. La sensibilité au vent latéral est très marquée et le niveau sonore se fait bien plus important. Ces désagréments rappellent que la C2 est avant tout destinée à la ville et que les longs trajets ne sont pas sa qualité première. Cependant, elle reste une citadine assez homogène et on peut entreprendre des longs trajets en toute sécurité et sans trop d’arrière-pensées. Pour finir, la consommation est très faible et il n’est pas difficile de réaliser des moyennes de 4,0 l. au 100 km., ce qui en fait une des citadines les plus économiques disponible sur le marché.
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CONCLUSION |
Remplaçante de la Saxo, le duo C2/C3 rencontrera un fort succès dès son lancement. La C2 offre un style assez original et les prestations sont très correctes pour une mini-citadine. L’équipement complet de cette finition Exclusive et la sobriété du moteur HDI sont des atouts imparables. Cependant, elle reste une citadine dont la qualité première est d’évoluer en ville, et même si elle se montre assez homogène dans son utilisation, la C2 à quelques limites lorsqu’elle est mise à contribution hors agglomération.
Galerie du modèle essayé