FICHE TECHNIQUE DU MODÈLE ESSAYÉ |
Modèle |
Série 3 E46 320d Pack Luxe |
Année |
1998 |
Couleur |
Farngrün (référence 386) |
Puissance |
136 ch. |
Puissance fiscale |
7 CV |
Kilométrage |
144.500 kms. |
Prix neuf |
N.C. |
Lancée en 1997, la Série 3 E46 reprend le style et la mécanique de sa devancière l'E36. Datant du premier millésime, cet exemplaire reçoit sous le capot le quatre cylindres diesel 2.0 l. 136 ch.
Design
La Série 3 E46 est une berline au style assez sobre, ce qui lui permet de bien vieillir, mais conserve les traits spécifiques du constructeur bavarois (capot long et plat, calandre, feux arrière en ‘’L’’) et reste finalement assez proche de sa devancière, la Série 3 E36. Cet exemplaire reçoit une couleur verte très sombre (Farngrün) qu’on retrouve assez souvent sur des berlines britanniques mais cette couleur sied très bien à l’E46. De plus, avec les antibrouillards (optionnels) et les jantes 16’’ (optionnelles également), cela donne un style plus agressif à la Série 3. Enfin, ce modèle datant de 1997 reçoit des clignotants blancs et des feux arrière des versions restylées, produite à partir de 2002.
Vie à bord
A l'intérieur, la finition Pack Luxe offre un intérieur cuir beige du plus bel effet associé à des inserts en bois précieux (optionnel), ce qui donne une ambiance plus cossue à l'habitacle. Au niveau des équipements de confort, la dotation est plutôt complète même si cet exemplaire reçoit pas mal d’options (climatisation automatique, accoudoir central avant, radio Business BMW, chargeur 6 CD, volant multifonction, verrouillage centralisé à télécommande, ordinateur de bord et store de lunette arrière). La radio optionnelle se dote de six haut-parleurs et offre un son très correct pour l’époque, alors qu’en termes d’équipements de sécurité, on note la présence de six airbags. L’ergonomie est très bien pensée, et le style de la planche de bord est repris à celui des autres BMW de cette époque, ce qui fait qu’un habitué de la marque n’est absolument pas dérouté.
La finition est de très haut niveau, avec des matériaux très résistants et à l’aspect flatteur, comme le plastique moussé recouvrant la partie haute de la planche de bord. Les assemblages sont parfaits et on ne note aucun bruit de mobilier, ce qui est très appréciable dans une voiture de cet âge. D’ailleurs, sur ce point sa remplaçante la Série 3 E90 fera moins bien. L'habitabilité est très correcte, même si la troisième place à l'arrière est inutilisable à cause du tunnel de transmission. La présence de nombreux rangement est appréciable, surtout pour une voiture qui se veut familiale. Le volume du coffre est suffisant mais cet exemplaire reçoit en plus en option la banquette rabattable, ce qui est rare sur une berline à trois volumes de ce standing.
Sur la route
Lors de la mise en route, très peu de vibrations se font sentir, alors que la mécanique se montre extrêmement discrète. La position de conduite est assez basse mais on conserve tout de même une excellente visibilité (hormis de ¾ arrière). De plus, la multitude de réglages disponible sur le siège et le volant permettent à tous les gabarits de trouver une position de conduite idéale. La commande de boite s’avère très agréable à manier, avec des débattements courts et précis alors que la direction se montre franche et précise. Autre point positif, le rayon de braquage s’avère excellent, et ça malgré les pneumatiques assez larges.
En ville, le confort est très bon avec des suspensions plutôt prévenantes, malgré des sièges assez fermes. La maniabilité est excellente pour un véhicule de cette dimension et la carrosserie est bien protégée par des baguettes de protection qui parcourent tout le tour de la carrosserie. Sur route, la Série 3 E46 se montre très agréable à conduire avec une direction précise et une boite de vitesse bien étagée. De plus, les 136 ch. du bloc 2.0 l. diesel sont bien présents et les reprises s’avèrent très correctes, même si les blocs 6 cylindres sont des références sur ce point-là. Enfin, sur l’autoroute le silence de fonctionnement est correct et la consommation s’avère raisonnable malgré l’absence d’une sixième vitesse. On peut seulement regretter que la direction s’avère légèrement flou dans les courbes rapides, ce qui est propre aux propulsions, mais dans l’ensemble le comportement routier reste neutre. De plus, avec les nombreuses aides présentes (ABS, ESP et antipatinage) il devient difficile de la prendre en défaut.
La Série 3 E46 est une berline au style assez sobre, ce qui lui permet de bien vieillir, mais conserve les traits spécifiques du constructeur bavarois (capot long et plat, calandre, feux arrière en ‘’L’’) et reste finalement assez proche de sa devancière, la Série 3 E36. Cet exemplaire reçoit une couleur verte très sombre (Farngrün) qu’on retrouve assez souvent sur des berlines britanniques mais cette couleur sied très bien à l’E46. De plus, avec les antibrouillards (optionnels) et les jantes 16’’ (optionnelles également), cela donne un style plus agressif à la Série 3. Enfin, ce modèle datant de 1997 reçoit des clignotants blancs et des feux arrière des versions restylées, produite à partir de 2002.
Vie à bord
A l'intérieur, la finition Pack Luxe offre un intérieur cuir beige du plus bel effet associé à des inserts en bois précieux (optionnel), ce qui donne une ambiance plus cossue à l'habitacle. Au niveau des équipements de confort, la dotation est plutôt complète même si cet exemplaire reçoit pas mal d’options (climatisation automatique, accoudoir central avant, radio Business BMW, chargeur 6 CD, volant multifonction, verrouillage centralisé à télécommande, ordinateur de bord et store de lunette arrière). La radio optionnelle se dote de six haut-parleurs et offre un son très correct pour l’époque, alors qu’en termes d’équipements de sécurité, on note la présence de six airbags. L’ergonomie est très bien pensée, et le style de la planche de bord est repris à celui des autres BMW de cette époque, ce qui fait qu’un habitué de la marque n’est absolument pas dérouté.
La finition est de très haut niveau, avec des matériaux très résistants et à l’aspect flatteur, comme le plastique moussé recouvrant la partie haute de la planche de bord. Les assemblages sont parfaits et on ne note aucun bruit de mobilier, ce qui est très appréciable dans une voiture de cet âge. D’ailleurs, sur ce point sa remplaçante la Série 3 E90 fera moins bien. L'habitabilité est très correcte, même si la troisième place à l'arrière est inutilisable à cause du tunnel de transmission. La présence de nombreux rangement est appréciable, surtout pour une voiture qui se veut familiale. Le volume du coffre est suffisant mais cet exemplaire reçoit en plus en option la banquette rabattable, ce qui est rare sur une berline à trois volumes de ce standing.
Sur la route
Lors de la mise en route, très peu de vibrations se font sentir, alors que la mécanique se montre extrêmement discrète. La position de conduite est assez basse mais on conserve tout de même une excellente visibilité (hormis de ¾ arrière). De plus, la multitude de réglages disponible sur le siège et le volant permettent à tous les gabarits de trouver une position de conduite idéale. La commande de boite s’avère très agréable à manier, avec des débattements courts et précis alors que la direction se montre franche et précise. Autre point positif, le rayon de braquage s’avère excellent, et ça malgré les pneumatiques assez larges.
En ville, le confort est très bon avec des suspensions plutôt prévenantes, malgré des sièges assez fermes. La maniabilité est excellente pour un véhicule de cette dimension et la carrosserie est bien protégée par des baguettes de protection qui parcourent tout le tour de la carrosserie. Sur route, la Série 3 E46 se montre très agréable à conduire avec une direction précise et une boite de vitesse bien étagée. De plus, les 136 ch. du bloc 2.0 l. diesel sont bien présents et les reprises s’avèrent très correctes, même si les blocs 6 cylindres sont des références sur ce point-là. Enfin, sur l’autoroute le silence de fonctionnement est correct et la consommation s’avère raisonnable malgré l’absence d’une sixième vitesse. On peut seulement regretter que la direction s’avère légèrement flou dans les courbes rapides, ce qui est propre aux propulsions, mais dans l’ensemble le comportement routier reste neutre. De plus, avec les nombreuses aides présentes (ABS, ESP et antipatinage) il devient difficile de la prendre en défaut.
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CONCLUSION |
Bien finie, confortable et agréable à conduire, a Série 3 E46 fut une des meilleures berline premium de sa génération. Son moteur diesel quatre cylindres de 136 ch. est volontaire, mais on imagine sans problème que l'expérience serait encore meilleure à bord de cette berline avec un six cylindres bavarois sous le capot.
Galerie du modèle essayé