Huit ans après la présentation de l’Ami 6, sa remplaçante l’Ami 8 est présentée au Salon de Genève 1969. Grosse évolution de l’Ami 6, sa principale différence concerne le dessin de la partie arrière, bien plus conventionnelle que celle de l’Ami 6.
HISTOIRE |
Une mise à jour timide
Citroën présente l’Ami 8 comme un nouveau modèle, or elle reprend une grande partie de la mécanique et des éléments de carrosserie de l'Ami 6. Cependant, elle se distingue nettement de la partie arrière, avec une vitre arrière plus conventionnelle, ce qui rend le dessin plus équilibré. L’avant est légèrement redessiné avec un capot maintenant intégré, et non plus débordant sur l’avant. La dernière grosse modification esthétique par rapport à l’Ami 6 est l’intégration des poignées de porte chromées. A noter que la carrosserie ne comporte aucuns chevrons Citroën, ce qui est plutôt étonnant. La gamme se divise toujours en deux finitions Confort et Club mais seule la berline est disponible au lancement en 1970.
Le break arrive en 1971 accompagné du break Service, réservé aux entreprises. Le dessin est quasiment identique à celui de l’Ami 6 break qui avait rencontré un fort succès, notamment auprès des populations rurale. Au niveau des modifications, on peut noter l’intégration des chevrons Citroën sur la carrosserie et de freins à disque à l’avant, ce qui améliore nettement le freinage. Enfin, les vitres avant sont maintenant descendante et non plus coulissante, mais les vitres arrière sont quant à elles sont toujours coulissante. Suite à ces deux première années, il n’y aura pas d’autres modifications jusqu’en 1973 et la présentation de l’Ami Super.
L’Ami c’est Super !
En 1973, Citroën a la bonne idée d’offrir plus de puissance à l’Ami 8 en installant le 4 cylindres à plat de la GS. Fort de 55 ch., cette nouvelle version est nommée Ami Super et peut atteindre 140 km/h. Elle se distingue par ses bandes latérales, sa calandre spécifique, ses monogrammes ‘’Super’’ et ses nouveaux enjoliveurs. Au niveau mécanique, les freins voient leur dimension majorée, deux barres antiroulis sont installées et la boite de vitesse est reprise à la GS 1220. Cette version Super est disponible avec les deux carrosseries berline et break.
Cette version disparaître en 1976 après seulement 3 ans de carrière et 42.000 exemplaires produits. Cette même année l’Ami 8 Service et renommée Entreprise et la banquette arrière est désormais rabattable sur le break. En 1977, le système de suspension dérivé de la 2CV et hérité de l’Ami 6 est abandonné pour une suspension simplifiée et plus moderne, qui se veut moins coûteuse à produire et plus efficace. La fin de carrière est proche en 1978 suite à la présentation de sa remplaçante, la Visa. D’ailleurs la production est arrêtée en fin d'année pour la berline, alors que le break continuera jusqu’en 1979, sans être remplacé.
Vendue à 801.042 exemplaires en 9 ans de carrière, sa diffusion sera limitée par le manque d'évolutions au cours de sa carrière, et sa filiation évidente avec sa devancière l'Ami 6. Même la version Super qui offrait des prestations plus moderne ne rencontra pas le succès escomptait.
Citroën présente l’Ami 8 comme un nouveau modèle, or elle reprend une grande partie de la mécanique et des éléments de carrosserie de l'Ami 6. Cependant, elle se distingue nettement de la partie arrière, avec une vitre arrière plus conventionnelle, ce qui rend le dessin plus équilibré. L’avant est légèrement redessiné avec un capot maintenant intégré, et non plus débordant sur l’avant. La dernière grosse modification esthétique par rapport à l’Ami 6 est l’intégration des poignées de porte chromées. A noter que la carrosserie ne comporte aucuns chevrons Citroën, ce qui est plutôt étonnant. La gamme se divise toujours en deux finitions Confort et Club mais seule la berline est disponible au lancement en 1970.
Le break arrive en 1971 accompagné du break Service, réservé aux entreprises. Le dessin est quasiment identique à celui de l’Ami 6 break qui avait rencontré un fort succès, notamment auprès des populations rurale. Au niveau des modifications, on peut noter l’intégration des chevrons Citroën sur la carrosserie et de freins à disque à l’avant, ce qui améliore nettement le freinage. Enfin, les vitres avant sont maintenant descendante et non plus coulissante, mais les vitres arrière sont quant à elles sont toujours coulissante. Suite à ces deux première années, il n’y aura pas d’autres modifications jusqu’en 1973 et la présentation de l’Ami Super.
L’Ami c’est Super !
En 1973, Citroën a la bonne idée d’offrir plus de puissance à l’Ami 8 en installant le 4 cylindres à plat de la GS. Fort de 55 ch., cette nouvelle version est nommée Ami Super et peut atteindre 140 km/h. Elle se distingue par ses bandes latérales, sa calandre spécifique, ses monogrammes ‘’Super’’ et ses nouveaux enjoliveurs. Au niveau mécanique, les freins voient leur dimension majorée, deux barres antiroulis sont installées et la boite de vitesse est reprise à la GS 1220. Cette version Super est disponible avec les deux carrosseries berline et break.
Cette version disparaître en 1976 après seulement 3 ans de carrière et 42.000 exemplaires produits. Cette même année l’Ami 8 Service et renommée Entreprise et la banquette arrière est désormais rabattable sur le break. En 1977, le système de suspension dérivé de la 2CV et hérité de l’Ami 6 est abandonné pour une suspension simplifiée et plus moderne, qui se veut moins coûteuse à produire et plus efficace. La fin de carrière est proche en 1978 suite à la présentation de sa remplaçante, la Visa. D’ailleurs la production est arrêtée en fin d'année pour la berline, alors que le break continuera jusqu’en 1979, sans être remplacé.
Vendue à 801.042 exemplaires en 9 ans de carrière, sa diffusion sera limitée par le manque d'évolutions au cours de sa carrière, et sa filiation évidente avec sa devancière l'Ami 6. Même la version Super qui offrait des prestations plus moderne ne rencontra pas le succès escomptait.
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