Pour célébrer le passage dans le nouveau millénaire, Audi dévoile au milieu de l’an 2000 la Rosemeyer. Supercar rendant hommage au passé, elle se dote d’un W16 développant pas moins de 710 ch.
HISTOIRE |
Un hommage au passé
C’est lors de l’inauguration de l’Autostadt à Wolsburg (parc de loisir appartenant à Volkswagen) que l’Audi Rosemeyer fut présentée au public. Portant le nom du célèbre pilote automobile Bernd Rosemeyer qui s’illustra au volant des Auto Union lors des années 1930, elle rend hommage au glorieux passé sportif de la marque. Esthétiquement la filiation avec les célèbre Auto Union est évidente, avec la grille de calandre avant proche de l’Auto Union Type C et les nombreuses ouïes latérales. Avec sa carrosserie entièrement en aluminium, la Rosemeyer impressionne. Certains détails sont remarquables, comme les phares avant protégés par un capot en aluminium qui se lève quand on les allume, et l’absence de rétroviseurs remplacés par des caméras au-dessus du cockpit. Les jantes en aluminium poli sont massivent et reçoivent des pneumatiques Michelin spécifique au prototype.
Très longue avec un capot arrière plongeant, on découvre sous ce dernier un W16 de 8.0 l. de cylindrée en position centrale arrière, développant 710 ch. et 760 Nm de couple. Ces chiffres incroyables promettent des performances exceptionnelles, avec une vitesse de pointe estimée à 385 km/h. La transmission Quattro est bien évidement présente, et la boite de vitesse est manuelle à six rapports. L’habitacle est également tourné vers le passé avec la présence d’un grand volant à quatre branches et des habillages en cuir et aluminium du plus bel effet. Définie en tant qu’exercice de style, la Rosemeyer restera à l’état de prototype unique, le groupe Volkswagen laissant la catégorie des supercars à d’autres marques du groupe, telles que Lamborghini et Bugatti.
Avec des chiffres impressionnants et un style unique rappelant le glorieux passé de la marque, la Rosemeyer marqua les esprits lors de sa présentation en 2000. Prototype unique, sa carrosserie en aluminium et son W16 de 710 ch. feront rêver de nombreux observateurs à l’époque.
C’est lors de l’inauguration de l’Autostadt à Wolsburg (parc de loisir appartenant à Volkswagen) que l’Audi Rosemeyer fut présentée au public. Portant le nom du célèbre pilote automobile Bernd Rosemeyer qui s’illustra au volant des Auto Union lors des années 1930, elle rend hommage au glorieux passé sportif de la marque. Esthétiquement la filiation avec les célèbre Auto Union est évidente, avec la grille de calandre avant proche de l’Auto Union Type C et les nombreuses ouïes latérales. Avec sa carrosserie entièrement en aluminium, la Rosemeyer impressionne. Certains détails sont remarquables, comme les phares avant protégés par un capot en aluminium qui se lève quand on les allume, et l’absence de rétroviseurs remplacés par des caméras au-dessus du cockpit. Les jantes en aluminium poli sont massivent et reçoivent des pneumatiques Michelin spécifique au prototype.
Très longue avec un capot arrière plongeant, on découvre sous ce dernier un W16 de 8.0 l. de cylindrée en position centrale arrière, développant 710 ch. et 760 Nm de couple. Ces chiffres incroyables promettent des performances exceptionnelles, avec une vitesse de pointe estimée à 385 km/h. La transmission Quattro est bien évidement présente, et la boite de vitesse est manuelle à six rapports. L’habitacle est également tourné vers le passé avec la présence d’un grand volant à quatre branches et des habillages en cuir et aluminium du plus bel effet. Définie en tant qu’exercice de style, la Rosemeyer restera à l’état de prototype unique, le groupe Volkswagen laissant la catégorie des supercars à d’autres marques du groupe, telles que Lamborghini et Bugatti.
Avec des chiffres impressionnants et un style unique rappelant le glorieux passé de la marque, la Rosemeyer marqua les esprits lors de sa présentation en 2000. Prototype unique, sa carrosserie en aluminium et son W16 de 710 ch. feront rêver de nombreux observateurs à l’époque.