L’A610 fut la dernière GT de la marque française jusqu’à son renouveau en 2017. L’A610 reprend le style de sa devancière la GTA, mais elle se modernise et sous le capot on retrouve le V6 PRV dopé par un turbo le offrant la bagatelle de 250 ch.
HISTOIRE |
The last but not the least
Lorsqu’Alpine lève le voile en 1991 sur sa nouvelle GT qui prend le nom de baptême d’A610, les observateurs saluent les qualités de cette voiture haute performance made in France, qui peut tenir tête sans problème aux Porsche, Ferrari et autres Lotus. Cependant, la forte ressemblance avec sa devancière (alors qu’elle ne partage aucun élément de carrosserie avec elle) entache son image dès le départ. Sous le capot, on retrouve un moteur éprouvé, le V6 PRV déjà vu sur la GTA mais qui est retravaillé et dont la puissance culmine à 250 ch. À l’intérieur, la finition est en nette hausse et l’équipement s’avère complet.
Lors du lancement, la gamme se résume à une seule finition et une seule offre mécanique. Dès l’année suivante, deux séries limitées sont présentée. La première prend le nom ‘’Albertville ‘92’’ et sera produite à deux exemplaires. Elle se distingue par sa couleur spécifique blanche, ses jantes blanches, ses logos, strippings latéraux et son intérieur cuir gris clair. La seconde série limitée ‘’Magny-Cours’’ sera produite à 31 exemplaires et se présente sous une robe intégralement verte spécifique (les jantes sont peintes dans le même teinte) et une inscription ‘’Magny-Cours’’ sur les portières. L’intérieur est habillé de cuir noir et une plaque numérotée est apposée sur la planche de bord.
Carrière trop courte pour s’imposer
Pour le millésime 1993, le nuancier est modifié et la teinte spécifique de la série limitée ‘’Magny-Cours’’ est disponible sur toute la gamme. Les seuils de porte sont modifiés alors que les pneumatiques Michelin MXX3 remplacent les MXX. Le circuit électrique évolue alors que les phares jaunes deviennent blancs. Les jantes changent, puisque désormais ce sont les jantes du Renault Spider qui sont installées. Au niveau mécanique, l’alésage et la course du moteur sont légèrement modifiés sans changement de puissance.
En 1994, la possibilité aux clients d’opter pour une teinte et une finition personnalisée est maintenant proposée. Ce sera la dernière évolution sur l’A610, car la production cessera dès 1995 soit seulement quatre ans après le lancement de la GT de Dieppe.
En seulement quatre ans, 818 exemplaires seront produits de l’A610. Cet échec commercial sonnera le glas de la marque Alpine au milieu des années 1990, au profit de la nouvelle branche sportive de Renault, qui prend le nom de Renault Sport.
Lorsqu’Alpine lève le voile en 1991 sur sa nouvelle GT qui prend le nom de baptême d’A610, les observateurs saluent les qualités de cette voiture haute performance made in France, qui peut tenir tête sans problème aux Porsche, Ferrari et autres Lotus. Cependant, la forte ressemblance avec sa devancière (alors qu’elle ne partage aucun élément de carrosserie avec elle) entache son image dès le départ. Sous le capot, on retrouve un moteur éprouvé, le V6 PRV déjà vu sur la GTA mais qui est retravaillé et dont la puissance culmine à 250 ch. À l’intérieur, la finition est en nette hausse et l’équipement s’avère complet.
Lors du lancement, la gamme se résume à une seule finition et une seule offre mécanique. Dès l’année suivante, deux séries limitées sont présentée. La première prend le nom ‘’Albertville ‘92’’ et sera produite à deux exemplaires. Elle se distingue par sa couleur spécifique blanche, ses jantes blanches, ses logos, strippings latéraux et son intérieur cuir gris clair. La seconde série limitée ‘’Magny-Cours’’ sera produite à 31 exemplaires et se présente sous une robe intégralement verte spécifique (les jantes sont peintes dans le même teinte) et une inscription ‘’Magny-Cours’’ sur les portières. L’intérieur est habillé de cuir noir et une plaque numérotée est apposée sur la planche de bord.
Carrière trop courte pour s’imposer
Pour le millésime 1993, le nuancier est modifié et la teinte spécifique de la série limitée ‘’Magny-Cours’’ est disponible sur toute la gamme. Les seuils de porte sont modifiés alors que les pneumatiques Michelin MXX3 remplacent les MXX. Le circuit électrique évolue alors que les phares jaunes deviennent blancs. Les jantes changent, puisque désormais ce sont les jantes du Renault Spider qui sont installées. Au niveau mécanique, l’alésage et la course du moteur sont légèrement modifiés sans changement de puissance.
En 1994, la possibilité aux clients d’opter pour une teinte et une finition personnalisée est maintenant proposée. Ce sera la dernière évolution sur l’A610, car la production cessera dès 1995 soit seulement quatre ans après le lancement de la GT de Dieppe.
En seulement quatre ans, 818 exemplaires seront produits de l’A610. Cet échec commercial sonnera le glas de la marque Alpine au milieu des années 1990, au profit de la nouvelle branche sportive de Renault, qui prend le nom de Renault Sport.
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