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Dessiné et fabriqué par le carrossier italien Pininfarina, l’Alfa Romeo Spider deviendra au fil des ans un symbole italien, avec son charme unique et ses mécaniques envoutantes.
HISTOIRE |
Dolce Vita !
C’est en Mars 1966 qu’Alfa Romeo lève le voile sur son nouveau cabriolet, le Spider 1600. Surnommé Duetto, il fut dessiné par Pininfarina et reçoit sous le capot un 1.570 cm3 développant 110 ch. Stricte deux places très joliment dessiné, le Spider deviendra rapidement un ambassadeur du style italien, alliant classe et sportivité. En cours de millésime 1967, le 1600 laisse sa place à la nouvelle version 1750 Veloce, qui se distingue par ses jantes 14’’ avec nouveaux enjoliveurs, ses répétiteurs de clignotants, son volant en bois et son nouveau cendrier. Pour le millésime 1969, le Spider 1300 Junior est présenté. Sa présentation est simplifiée par rapport au 1750 Veloce, avec des enjoliveurs moins travailés, ses phares non-carénés, ses déflecteurs de vitres fixes, son volant à deux branches et sa base de pare-chocs avant noire. L’année suivante sera présentée la version restylée du Spider. Reconnaissable à son arrière tronqué, sa calandre plus large, ses nouveaux pare-chocs et son pare-brise plus incliné, il conserve les deux versions 1300 Junior et 1750 Veloce.
En 1971, le 1750 Veloce laisse sa place au Spider 2000 Veloce. Les enjoliveurs sont remplacés par des cache-moyeux. En cours d’année 1972, une troisième version du Spider est proposée, le 1600 Junior. Il n’y aura pas d’évolutions majeures du Spider jusqu’en 1977, où le 1300 Junior sera retiré du catalogue. En 1983 apparaitra la troisième série de Spider, baptisée Aerodinamica (ou FL pour Face Lift). Il reçoit notamment un becquet arrière et un spoiler avant en plastique, ainsi que des phares avant sans carénage. Les pare-chocs sont plus enveloppants et les feux arrière son agrandis. Cette nouvelle série de Spider sera toujours disponible avec les moteurs 1.6 et 2.0.
En cours d’année 1986 est présenté au Salon de l’automobile de Genève le Spider Quadrifoglio Verde. Il reçoit notamment des extensions de bas de caisse, un nouveau spoiler et des jantes alliages. L’ensemble de la gamme adopte au même moment un nouveau tableau de bord et des rétroviseurs extérieurs agrandis. En 1990, au Salon de l’automobile de Détroit est présenté la quatrième série de Spider. L’extérieur est grandement modernisé, avec des pare-chocs mieux intégrés et peints couleur carrosserie et des feux arrière allongés plus moderne. Les bas de caisse sont plus fins, le logo sur la calandre est nouveau, les rétroviseurs sont désormais à réglage électrique et la direction assistée est montée en série. Au niveau mécanique, trois versions sont disponibles, la 1.6, le 2.0 i.e. et la 2.0 i.e. catalysée. Lors du passage à la quatrième série, le moteur 2.0 adopte ainsi l’injection. Il n’y aura d’autres modification jusqu’à l’arrêt de la production du Spider, en Janvier 1994.
Avec 126.424 exemplaires produits en presque 30 ans de carrière, le Spider sera un joli succès pour le constructeur turinois. Évoluant au fil des ans pour s’adapter au style de chaque époque, il perdra au fil du temps la finesse du dessin original sans perdre la philosophie propre au cabriolet italien.
C’est en Mars 1966 qu’Alfa Romeo lève le voile sur son nouveau cabriolet, le Spider 1600. Surnommé Duetto, il fut dessiné par Pininfarina et reçoit sous le capot un 1.570 cm3 développant 110 ch. Stricte deux places très joliment dessiné, le Spider deviendra rapidement un ambassadeur du style italien, alliant classe et sportivité. En cours de millésime 1967, le 1600 laisse sa place à la nouvelle version 1750 Veloce, qui se distingue par ses jantes 14’’ avec nouveaux enjoliveurs, ses répétiteurs de clignotants, son volant en bois et son nouveau cendrier. Pour le millésime 1969, le Spider 1300 Junior est présenté. Sa présentation est simplifiée par rapport au 1750 Veloce, avec des enjoliveurs moins travailés, ses phares non-carénés, ses déflecteurs de vitres fixes, son volant à deux branches et sa base de pare-chocs avant noire. L’année suivante sera présentée la version restylée du Spider. Reconnaissable à son arrière tronqué, sa calandre plus large, ses nouveaux pare-chocs et son pare-brise plus incliné, il conserve les deux versions 1300 Junior et 1750 Veloce.
En 1971, le 1750 Veloce laisse sa place au Spider 2000 Veloce. Les enjoliveurs sont remplacés par des cache-moyeux. En cours d’année 1972, une troisième version du Spider est proposée, le 1600 Junior. Il n’y aura pas d’évolutions majeures du Spider jusqu’en 1977, où le 1300 Junior sera retiré du catalogue. En 1983 apparaitra la troisième série de Spider, baptisée Aerodinamica (ou FL pour Face Lift). Il reçoit notamment un becquet arrière et un spoiler avant en plastique, ainsi que des phares avant sans carénage. Les pare-chocs sont plus enveloppants et les feux arrière son agrandis. Cette nouvelle série de Spider sera toujours disponible avec les moteurs 1.6 et 2.0.
En cours d’année 1986 est présenté au Salon de l’automobile de Genève le Spider Quadrifoglio Verde. Il reçoit notamment des extensions de bas de caisse, un nouveau spoiler et des jantes alliages. L’ensemble de la gamme adopte au même moment un nouveau tableau de bord et des rétroviseurs extérieurs agrandis. En 1990, au Salon de l’automobile de Détroit est présenté la quatrième série de Spider. L’extérieur est grandement modernisé, avec des pare-chocs mieux intégrés et peints couleur carrosserie et des feux arrière allongés plus moderne. Les bas de caisse sont plus fins, le logo sur la calandre est nouveau, les rétroviseurs sont désormais à réglage électrique et la direction assistée est montée en série. Au niveau mécanique, trois versions sont disponibles, la 1.6, le 2.0 i.e. et la 2.0 i.e. catalysée. Lors du passage à la quatrième série, le moteur 2.0 adopte ainsi l’injection. Il n’y aura d’autres modification jusqu’à l’arrêt de la production du Spider, en Janvier 1994.
Avec 126.424 exemplaires produits en presque 30 ans de carrière, le Spider sera un joli succès pour le constructeur turinois. Évoluant au fil des ans pour s’adapter au style de chaque époque, il perdra au fil du temps la finesse du dessin original sans perdre la philosophie propre au cabriolet italien.
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